Questions Photo

Camera Raw, Lightroom et le HDR (1)

Brume matinale sur la vallée du Rhin : grâce au tonemapping dans Camera Raw, le rendu de l'image reste naturel (fusion de 6 images, espacés d'un IL dans le module HDR Pro de Photoshop CS6).

Faut-il faire du HDR mono-image ?

Au vu de la latitude, très importante, des curseurs Tons clairs et Tons foncés de Camera Raw et Lightroom, on pourrait être tenté de n’utiliser qu’une image légèrement sous-exposée dont il est aisé de récupérer les ombres à l’aide du curseur Tons foncés. Malheureusement, il s’agit là d’une méthode beaucoup moins efficace : l’éclaircissement des ombres révèle à coup sûr beaucoup de bruit et ce, même à la sensibilité ISO native du capteur. Le fichier HDR -TIFF en 32 bits est beaucoup plus malléable et tolère des traitements même très musclés avant de laisser apparaître des artéfacts gênants.

Agrandissement à 200 % d’une des images( sous-exposée) de la série (à gauche) et de l’image finale (à droite) : alors que la première affiche du bruit, la seconde est parfaitement lisse.

Conclusion

Grâce à leurs nouveaux algorithmes de tonemapping (PV2012) et une panoplie complète d’outils de correction globale et locale, Camera Raw et Lightrom sont désormais parés pour  le traitement des fichiers HDR. Souvent même, les résultats sont meilleurs et plus naturels qu’en passant par un logiciel HDR dédié. Dans la seconde et dernière partie de cet article, je présenterai le flux de travail dans Bridge, Camera RAW et Photoshop ainsi que l’utilisation d’un logiciel HDR tiers (Photomatix Pro et PhotoAcute) en amont du tonemapping dans Camera Raw.

Lightroom 4 pour les photographes : l’épreuvage sur écran dans la pratique (2)

Voici une image, affichée côte à côte avec son épreuve sur écran.

L’épreuvage sur écran est une des nouveautés de Lightroom 4. Alors que dans un autre article, paru il y a quelques jours, Martin Evening explorait le « pourquoi » de l’épreuvage sur l’écran, le photographe, auteur et alpha-testeur de Photoshop et Lightroom s’attarde cette fois-ci sur le « comment ».

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Créer et gérer une activité de photographe : être photographe, qu’est-ce que c’est ?

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Dans la même logique, il convient également d’être maître dans l’art de la mise en page, du graphisme, de la correction et du réglage des images avant impression, tout cela sans occulter l’histoire de l’art et tout en cultivant sa propre culture artistique. Si vous me permettez l’expression, c’est « tout un programme »… L’époque (et le marché) exige(nt) que tout photographe professionnel maîtrise les différents aspects de cette chaîne. Un peu d’honnêteté fait dire que c’est impossible. Impossible en termes de charge de travail, impossible en termes de système de pensée, impossible en termes de portée de la réflexion. Bien entendu, il doit y avoir d’étroites collaborations, des connexions, des participations des différents intervenants d’un projet très en amont du processus décisionnel et de la phase de création. Et le photographe ne peut plus aujourd’hui créer seul sans prendre en considération la ou les façons dont seront utilisées les images. Si j’emploie le terme de « chaîne », c’est bien parce qu’il s’agit d’une succession d’acteurs engagés les uns avec les autres dans le but d’une production commune ; les uns étant plutôt « créateurs », les photographes, les autres étant plutôt « fournisseurs », ceux qui valorisent la mise en forme de l’image.

Un photographe doit conserver la capacité à penser, structurer et partager un discours. On attend d’un artiste qu’il nous touche, nous enrichisse, ce qui ne se fera pas sans ouverture, sans curiosité, sans pugnacité et obstination. Cela ne se fera pas non plus sans un engagement honnête fondateur de toute sa démarche, et sans intégrer le fait que créer, c’est se mettre en danger personnellement ; c’est accepter d’aller au-delà de soi, au-delà de ce qui dérange, de ce que l’on tait par confort. C’est ce dépassement qui fait le photographe.

Nous voilà avec deux notions fondamentalement complémentaires et diamétralement contradictoires : le photographe doit être un créateur et un bon technicien, et le bon professionnel doit aussi être bon gestionnaire et savoir bien apprécier son marché. Ces deux aspects ne peuvent pas être distincts l’un de l’autre. Les enseignements ou les nombreuses propositions de stages techniques ou artistiques font une grande partie du « travail ». Au-delà de ça, gestion, comptabilité et négociation doivent cesser d’être un langage abstrait pour le photographe d’aujourd’hui.

Cet article est extrait de l’avant-propos de Créer et gérer une activité de photographe, à paraître aux éditions Eyrolles le 2 novembre (176 pages – 20 euros – ISBN : 978-2-212-13590-9).

Fabiène Gay Jacob Vial accompagne les photographes dans le développement de leur activité. Elle propose des formations sur www.blog-lescyclopes.com.

Au sommaire

Photographe, moi ? Chronique du quotidien • La double facette : gérer sa photo à soi et la photo alimentaire Quel(s) marché(s) pour la photographie ? Portrait des marchés • Trois secteurs prédominants Quel marché pour « ma » photographie ? Définir les marchés locaux • Comprendre son environnement • Travailler avec le secteur privé/avec le secteur public Comportements et usages des commanditaires. Cerner son public • Faire le point : ma pratique face au marché Stratégie et posture professionnelle : un édifice à bâtir. Mesurer, accroître et mettre en perspective son potentiel artistique • Se présenter • Présenter sa photographie Gérer son activité. Savoir dire « non » • Élaborer une stratégie • S’organiser • Rédiger une proposition/répondre à une commande/établir un budget et un devis Vendre… Codes et usages à exploiter. La vente dans la fonction commerciale • Étapes clés • La rentabilité Face au client. Convaincre • Argumenter • Conclure S’appuyer sur un réseau professionnel

Capture One Pro 7 : un retour en force

Le logiciel phare de Phase One offre désormais un module de catalogage parfaitement intégré.

Prix et disponibilité

Phase One Capture One Pro 7 pour Mac OS X et Windows est disponible via la boutique en ligne de l’éditeur ou auprès de revendeurs agrées. Le logiciel est proposé à 299 $ ou 229 € HT. Les utilisateurs d’une ancienne version du logiciel (Capture One Pro 3/4/5/6) peuvent procéder à une mise à jour payante (99 $ ou 69 €). Depuis Capture One Express, la mise à jour est à 249 $ ou 199 €. Si vous avez acheté Capture One Pro 6 depuis le 26 septembre  2012, la mise à jour sera gratuite. Vous pouvez également télécharger une version d’essai, opérationnelle pendant 60 jours. Notez que Capture One Express (une version allégée de la version précédente) demeure dans la gamme de produits de Phase One.

Capture One Pro 7 — Configuration matérielle et logicielle requise

  • PC : Microsoft Windows Vista (64 bits), Windows 7 (64 bits), Windows 8 (64 bits) et processeur Intel Core 2 Duo, AMD Athlon 64 X2 ou supérieur.
  •  Mac : Mac OS X 10.6.8 Snow Leopard, 10.7.5 Lion, 10.8.2 Mountain Lion et processeur Mac Intel Core 2 Duo ou supérieur
  • 4 Go de RAM au minimum et 10 Go disponibles sur le disque dur.
  • Pour de meilleures performances, l’éditeur conseille d’utiliser des processeurs avec de multiples cœurs (Intel Core  i7 ou supérieur) avec 8 Go de mémoire RAM ou davantage. Un disque dur SSD et une carte graphique rapide (Nvidia ou AMD, plus de 1Go de VRAM) sont également utiles pour des performances optimales.

 

 

Lightroom 4 pour les photographes : épreuvage sur écran et impression (1)

Voici deux captures d’écran d’une image avec la fonction Epreuvage écran activé. Alors que la première image (à gauche) montre représente l’aperçu sur un écran Apple LCD (gamut standard, sRVB), la deuxième (à droite) montre l’aperçu sur un écran NEC 3090WQXi (gamut étendu, Adobe RVB). Notez que les différences, visible en impression offset, s’estompent une fois les images converties en sRVB et affichées via le Web.

L’épreuvage sur écran est une des nouveautés de Lightroom 4. Il permet d’anticiper à l’écran l’apparence visuelle d’une image imprimée, puis d’optimiser son rendu pour un périphérique de sortie donnée. Dans ce premier article, extrait de l’ouvrage Lightroom 4 pour les photographes, Martin Evening, photographe, auteur et alpha-testeur de Photoshop et Lightroom,  explique pourquoi utiliser cette fonction, idéale pour anticiper le rendu d’un tirage imprimé.

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Venez rencontrer nos auteurs sur le Salon de la Photo !

SDLP2012

Cette année, nous vous donnons rendez-vous sur notre stand (B104). Vous pourrez échanger avec Anne-Laure Jacquart , Jean Delmas, Gilles Theophile, Céline Jentzsch, Jean-Marie Sepulchre, Volker Gilbert, Fabiène Gay Jacob Vial, Vincent Luc, Pascale Brites, Pierre Labbe… et bien d’autres encore !

Nous vous invitons également à faire un tour sur le stand de l’Agora du Net (E16). L’Agora du Net, c’est le regroupement de sites Photo : Alpha DXD, Focus Numérique, Obturations, Pixelistes, Photopassion, Virus Photo, et Nikon Passion qui s’unissent pour vous proposer un programme complet d’animations pendant le Salon de la Photo.
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Photo Ninja : la qualité d’image avant tout

Photo Ninja 4

Gestion des couleurs

La création du profil de couleur est directement intégré au logiciel et permet de générer d’excellents profils d’entrée pour étalonner l’appareil photo. Cliquez pour agrandir l’image.

S’appuyant sur le moteur Little CMS, Photo Ninja est bien armé pour gérer les couleurs. Le logiciel intègre même un utilitaire fort astucieux et facile d’utilisation pour créer des profils personnalisés. Ouvrez l’image brute d’une mire ColorChecker, sélectionnez le type de la mire (Classic, Passport, Mini ou SG), le type de lumière et la température de couleur (si vous l’avez mesuré), puis appuyez sur la touche Build profile. Il est même possible d’évaluer la précision du profil crée (comparaison visuelle ou écart en dE) et la commande Image>Manage Profiles permet d’afficher les profils et/ou de choisir le profil le plus approprié pour la source de lumière en question.

Le rendu du profil générique, fourni par le logiciel, est supérieur à celui produit par le profil Adobe Standard (Camera Raw/Lightroom) et il est possible d’aller encore plus loin avec un profil personnalisé, notamment en cas de source d’éclairage non linéaire (ampoules à économie d’énergie, tubes fluorescents, etc.).

Photo Ninja utilise automatiquement le profil d’affichage par défaut de votre système d’exploitation, mais il y a un petit bogue empêchant l’application du « bon profil » si jamais vous décidez de faire glisser la fenêtre de l’application sur l’écran secondaire (dans une configuration biécran). Mieux vaut donc se résigner à afficher le logiciel sur votre écran principal. À l’exportation, Photo Ninja vous laisse choisir parmi différents espaces de travail (sRGB, Adobe RGB, ProPhoto RGB, etc.).

Affichage visuel des écarts de couleur avant (en haut) et après (en bas) la création de profils personnalisés.

Flux de production

Peut-on vraiment qualifier Photo Ninja d’outil de flux de production ? Certainement pas s’il s’agit de développer plusieurs images à la fois puisqu’il lui manque cruellement un outil pour le traitement par lot. Et pas non plus lorsqu’il s’agit de gérer ses images à l’aide de métadonnées. Photo Ninja se destine à tous ceux qui possèdent déjà une solution logicielle pour les scénarios évoqués (Aperture, Lightroom, AfterShot Pro, ACDSee Pro etc.) et qui souhaitent bénéficier de ses algorithmes particulièrement performants  pour peaufiner les meilleures images. Si Photo Ninja n’est guère probant en tant que logiciel indépendant, la situation change dès que vous l’utilisez en tant qu’éditeur externe à partir d’Aperture, Bridge, Lightroom ou Photo Mechanic. Avec Lightroom et Bridge, il est possible d’ouvrir une image dans Photo Ninja via un simple glisser/déposer entre les fenêtres du logiciel (sur Mac au moins) . Mais vous pouvez également paramétrer Photo Ninja pour faire en sorte que celui-ci ouvre directement le fichier RAW au lieu du fichier Bitmap qui lui est envoyé. Pour que Camera Raw et Lightroom n’écrasent pas les paramètres de développement de Photo Ninja (enregistrés dans la même balise XMP), l’éditeur conseille d’utiliser une option qui  duplique le fichier annexe avant de l’enregistrer au sein d’un sous-dossier « _PhotoNinja ». Cependant, pour que l’aller-retour entre Aperture/Lightroom et Photo Ninja fonctionne sans heurts, il faut suivre les consignes pour le renommage des fichiers. Photoshop/Bridge et/ou Lightroom se marient particulièrement bien avec Photo Ninja  (gestion des fichiers, retouche des poussières, corrections locales, etc.). Cela tombe bien puisque  l’éditeur promet pour la version 1.1 du logiciel un plug-in améliorant l’interaction  entre Photoshop et Bridge d’un côté et Photo Ninja de l’autre. Quant au traitement par lots, encore plus urgent, il est également prévu pour une des mises à jour prochaines (le bouton Queued au bas du panneau principal prouve qu’il était même prévu pour la sortie initiale…).

Depuis Bridge ou Lightroom, il suffit de faire glisser une image sur la fenêtre de Photo Ninja pour l’ouvrir dans le logiciel. Mais il est également possible d’attribuer à Photo Ninja le rôle d’éditeur externe d’Aperture ou de Lightroom pour y ouvrir des fichiers bruts (RAW ou DNG).

 

Prix et compatibilité

Avec un tarif régulier de 129 (version complète) ou 99 $ (mise à jour depuis Noise Ninja), Photo Ninja ne s’adresse pas vraiment au grand public, mais plutôt aux photographes « fine art », particulièrement sensibles à la qualité  et aux rendu de leurs images. Le logiciel est proposé aux utilisateurs de Windows XP, Vista et 7 (32-bit et 64-bits) et de Mac OS X 10.5, 10.6, 10.7 et 10.8 (uniquement en 64-bits) et certains signalent qu’il fonctionne même sous Linux via Wine. L’éditeur précise qu’il faut l’utiliser sur un ordinateur doté à la fois d’un processeur puissant (Core2Duo ou mieux) et de plus de 4 Go de mémoire RAM. Avec des  ordinateurs très puissants, Photo Ninja utilise tous les cœurs du processeur  pour le calcul des corrections  et ses performances bénéficient aussi largement d’une bonne dotation de mémoire RAM.  A l’heure actuelle, le logiciel ne connait qu’une diffusion très confidentielle puisque limitée au seul site de l’éditeur. L’anglais est la seule langue proposée et s’agissant d’une équipe de développement très restreinte, Picturecode n’entretient pas de forum pour s’échanger avec les développeurs et avec d’autres utilisateurs. Si le courrier électronique (en anglais) est le seul moyen de communication, cela fonctionne plutôt bien. L’éditeur répond rapidement à vos questions et requêtes. À noter aussi la présence de plusieurs tutoriels pour mieux comprendre les différents aspects du logiciel et d’une foire aux questions. Espérons que Picturecode se montre réactif à la fois pour la prise en charge de nouveaux formats RAW et pour améliorer l’interface utilisateur de Photo Ninja. Pour l’essayer, vous pouvez télécharger la dernière version du logiciel. Toutefois, il faut demander une licence temporaire, limitée à seulement deux semaines et nécessaire pour exporter des images (sinon, votre découverte du logiciel se limite aux seuls aperçus…).

Un premier avis

Pour ce qui est de la qualité des images, Photo Ninja se mesure aux meilleurs logiciels de développement RAW et les dépasse même parfois lorsqu’il s’agit de restituer les infimes petits détails d’un paysage ou d’une photo d’architecture ou les hautes lumières d’une image sévèrement surexposée. Noise Ninja 3 est également bien plus puissant que son ainé Noise Ninja 2, lui-même incorporé à AfterShot Pro. Alors que ce dernier génère souvent des artéfacts disgracieux, Noise Ninja 3 suit la voie tracée par DxO Optics Pro et Camera Raw/Lightroom qui consiste à remplacer le bruit par une texture granuleuse très « argentique » et peu intrusive. Les inconditionnels d’une texture parfaitement lisse peuvent toujours augmenter la correction du bruit de luminance pour rendre le grain quasi invisible sans pour autant réduire la netteté des images. Mais le véritable point fort du logiciel réside dans la puissance de ses algorithmes de correction automatique (tonalité et aberrations chromatiques) et la pertinence de ses profils couleur. Par défaut, le rendu des images est très flatteur (idem DxO Pro) et souvent, il n’est pas nécessaire de se plonger dans les réglages manuels pour arriver au rendu recherché. Certes, avec Camera Raw ou Lightroom, vous aboutirez  à un résultat aussi satisfaisant (et parfois meilleur, grâce aux corrections locales), mais uniquement après avoir bien assimilé le fonctionnement des différents curseurs du panneau Réglages de base. Photo Ninja peut-il se substituer à un logiciel de flux de production tel qu’Aperture, AfterShot Pro et Lightroom ? S’agissant d’un simple logiciel de conversion, la réponse est non. Considérez-le plutôt comme un complément à votre logiciel habituel – Photo Ninja vous offre une autre approche et un rendu différent lorsqu’il s’agit de tirer la quintessence de vos fichiers RAW (expositions photo, livres,magazines, book du photographe, tirages grand format, etc.).  Un peu comme un objectif Zeiss à mise au point manuelle, adapté sur un boitier Canon, Nikon ou Sony…

 

Photo Ninja — les plus

  • très grande finesse de dématriçage avec très peu d’artéfacts
  • automatismes puissants pour minimiser le temps passé sur chaque image
  • excellente restitution des couleurs (que l’on peut améliorer en créant de profils personnalisés)
  • réduction du bruit très efficace avec une texture d’image très harmonieuse
  • récupération des hautes lumières très réussie
  • correction parfaite des aberrations chromatiques (sauf pour les images issues d’objectifs à décentrement)
  • outils complets pour corriger la distorsion, le vignetage et les défauts de perspective (possibilité de créer des profils de correction pour la distorsion)
  •  réactivité satisfaisante avec des ordinateurs modernes
  •  support des normes actuellement en vigueur DNG et XMP
  •  bonne interaction avec Aperture, Bridge, Lightroom et Photo Mechanic (ouverture des RAW au lieu des Bitmap dans Aperture et Lightroom)
  •  support client très réactif

Photo Ninja — les moins

  • absence d’outils de gestion (importation, catalogage, filtrage, recherche, gestion des métadonnées, impression, web, GPS, diaporama, livre photo etc.) et de correction locale (poussières, yeux rouges, pinceau, filtre gradué, etc.)
  • ergonomie parfois bizarre (nécessite d’annuler/valider les corrections pour passer à l’outil suivant, séparation des commandes de rotation et de recadrage, etc.)
  • pas de profils fournis pour la correction de la distorsion et du vignetage
  • quelques lenteurs à l’ouverture d’un dossier d’images (la génération des vignettes et aperçus n’est pas désactivable lorsque le logiciel sert d’éditeur externe).
  • prise en charge exclusive des boitiers à capteurs Bayer
  • pas de forum pour échanger avec d’autres utilisateurs
  • pas de traitement par lot (prévu pour une version future)

 

 

Catalogue Eyrolles Photo 2013

Pages de CAT-PHOT-2013-WEB

La richesse du catalogue Eyrolles Photo repose avant tout sur l’engagement de ses auteurs, sur leur envie de partager leur passion et leurs savoir-faire avec exigence.

Consultez notre nouveau catalogue photo et découvrez toutes nos nouveautés ou titres à paraître en 2013 ! Vous y trouverez ainsi une offre complète qui rassemble les meilleurs experts français dans leurs domaines ainsi que des auteurs anglo-saxons incontournables.

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DxO Optics Pro : prise en charge du Canon 1DX et Nikon D600

DxO Optics Pro 7.5.5

DxO Labs vient d’introduire la version 7.5.5 du logiciel DxO Optics Pro. Ce dernier propose désormais la prise en charge des nouveaux boitiers Canon EOS-1D X, Nikon D600 (version Elite), Panasonic Lumix DMC-G5 et DMC-LX7. L’éditeur annonce également la disponibilité de près de 400 nouveaux combinaisons boîtiers/optiques, permettant de bénéficier des corrections optiques automatiques avec de nombreux appareils Canon, Nikon, Olympus, Panasonic, Pentax et Sony et objectifs Canon, Nikon, Olympus, Panasonic, Sigma, Tamron, Tokina et Zeiss.

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Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !