Questions Photo

Capture One : traitement local, correction des défauts optiques et conversion noir et blanc

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En guise de conclusion
Nous avons vu qu’il n’est pas nécessaire de posséder Lightroom, Aperture ou Photoshop pour goûter aux fonctionnalités de certains modules externes et plug-ins. Grâce à eux, vous décuplerez les possibilités en termes de correction de votre logiciel de développement RAW, bien que certains de ces outils soient bien plus onéreux que l’application hôte. Et, n’oublions pas qu’il faut sortir des sentiers battus du traitement non destructif pour s’en servir…
Notez que Sébastien Abric du site Fotopassion est probablement le premier à avoir découvert et décrit ce détournement des éditeurs externes de Lightroom – vous trouverez son article sur DPP et Viveza en suivant ce lien.

Interview : Gérard Blondeau, photographe naturaliste

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QP : Dans votre ouvrage Photographier la nature en macro, vous présentez en annexes quelques photos abstraites de fleurs, loin des photos d’entomologie ou de botanique que vous avez l’habitude de prendre. Réalisez-vous beaucoup d’images de ce genre ?
GB : Ce sont des vues moins naturalistes, beaucoup plus poétiques dans lesquelles le rêve domine. Pour ce type de photos, au lieu de fermer complètement, il faut ouvrir le diaphragme pour n’avoir qu’un petit détail net et tout le reste flou. Lorsque j’accompagne des groupes, je fais peu de photos de ce genre, car, même si elles offrent moins de contraintes techniques et permettent de travailler à main levée, elles sont à mon sens plus difficiles à réaliser, nécessitent davantage de temps et beaucoup plus de prises. Le point visé n’est pas toujours parfait, et on peut être déçu du résultat si l’on ne se donne pas la peine de faire le tour du sujet.


Astrance

QP : Pour ces photographies abstraites, employez-vous un matériel particulier ? Vous préparez-vous de la même façon que pour les autres photos ? S’agit-il de photos de studio ? Quel aspect technique allez-vous privilégier ?
GB : Rien ne vaut le travail en plein air ! J’ai deux manières de procéder selon le résultat recherché : j’utilise le 65 mm Canon pour aller au cœur des plantes, pour mettre en valeur les détails les plus fins d’un pistil par exemple, et sinon je me sers de mon télé pour isoler une fleur nette sur une masse floue. Les jeux de lumière aussi sont intéressants. Parfois lorsque la lumière est trop forte, j’obtiens une image trop contrastée, avec des taches trop claires et d’autres trop foncées. Dans ce cas, j’aime mieux travailler à l’ombre ou par soleil voilé, quand la lumière donne une douceur qui permet alors de voir plus de détails. Et puis, avec le numérique, et le réglage de la température de couleur, je peux toujours rattraper l’ombre froide et raviver les couleurs au post-traitement. J’ai regroupé quelques-unes de ces images dans un montage appelé “rêve de nature”.


Fleur de pêcher

QP : Qu’utilisez-vous comme outils de retouche ? Consacrez-vous beaucoup de temps au post-traitement ?
GB : J’utilise différents logiciels de traitement. Les principales retouches que j’effectue concernent le rééquilibrage des courbes hautes et basses lumières, je redonne du contraste, je corrige les défauts à l’aide des outils Tampon et Pansement. Je retire les poussières des carapaces, j’atténue leurs brillances, je supprime éventuellement un fil électrique qui gâcherait la photo, mais je ne déplace pas d‘éléments et n’effectue pas de montage. Il faut aussi penser au tri et au classement des photos : remplir les champs IPTC est une étape longue et fastidieuse, cependant incontournable pour retrouver ses images facilement.


Cameraria ohridella

Gérard Blondeau est l’auteur d’une quinzaine de livres sur la nature et a collaboré à de nombreuses revues ; il est également journaliste à Rustica et membre de l’office pour les insectes et leur environnement (OPIE). Il intervient auprès de différentes collectivités pour réaliser des reportages naturalistes sur la biodiversité animale et végétale. Il anime des stages photographiques, ouverts aux photographes et naturalistes, auprès de clubs photo et avec les associations CLIMAX et PRIMULA.

Du 15 août au 2 septembre 2009, il présentera une exposition photographique ayant pour thème « la biodiversité au jardin » à l’Office de Tourisme 14, rue Thierry Schoere 68410 Les Trois Épis. Tél : 03 89 49 80 56.
Un stage de macrophoto numérique conclura cette quinzaine les 29 et 30 août. Au cours de ces 2 jours sont prévus des prises de vues en studio, sur le terrain et même la nuit lors d’une chasse photo aux insectes nocturnes, sans oublier le transfert des images sur l’ordinateur et les traitements de base. Une participation aux frais de stage d’un montant de 190 euros est demandée (comprenant la formation, la location de salle, l’hébergement à l’hôtel Villa Rosa et les repas, hors boissons).

Pour s’inscrire au stage, contactez : Anne-Rose Denis, Hôtel Villa Rosa, 68410 Trois Épis. Tél 03 89 49 81 19. www.contact@villarosa.fr

Pour plus de renseignements sur le déroulement du stage, contactez Gérard Blondeau.

La photo animalière, une spécialité exigeante

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Rendez-vous manqué…
Je finirai par une anecdote qui montre ce que la photo d’animaux peut avoir d’aléatoire. Cet hiver, un froid exceptionnel (- 8° C) avait gelé les marais de Grande Brière et tout était pris dans la glace. J’avais installé un affût pour photographier les busards des roseaux, ces rapaces craintifs très difficiles à prendre en photo. Un canard mort trouvé dans le marais me servait d’appât. Il y avait des lumières magnifiques, le froid durait, tous les espoirs étaient permis du fond de ma cachette, mais aucun busard n’est venu. J’ai appris quelques semaines plus tard que des battues avaient eu lieu et qu’environ 1 500 ragondins avaient été tués dans les marais, puis entassés sur des îlots. Les busards avaient ainsi un garde-manger à ciel ouvert et n’avaient aucune raison de s’intéresser à mon appât…

Avec des animaux sauvages, le résultat n’est jamais garanti, et ce quels que soient les efforts fournis et le temps passé sur le terrain. Mais le plaisir ne réside pas seulement dans la satisfaction de rapporter une belle image et pour moi, le simple fait d‘être là, de vivre ces moments exceptionnels dans la nature, est une chance énorme.

Erwan Balança est photographe naturaliste professionnel depuis plus de 15 ans. Ses photos sont régulièrement publiées dans des magazines en France et à l’étranger (Terre Sauvage, Chasseur d’Images, Bird Watching, Science et Vie, Image & Nature, National Geographic…) et dans des beaux livres (entre autres Les Oiseaux prédateurs chez Flammarion, Loire-Atlantique secrète et sauvage et Bretagne sauvage chez Coiffard, Grand-Lieu, un lac tropical en pays nantais chez L’Etrave). Certaines ont obtenu des prix prestigieux comme le premier prix “oiseaux” ou le prix du public du festival de Montier-en-Der.

DNG Profile Editor : étalonnez votre boîtier avec Camera Raw et Lightroom

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  • Le filtre jaune peut être considéré comme un filtre universel, car il intervient très subtilement sur les tonalités d’une image, augmentant le contraste global et rendant les teintes chair un peu plus claires.
  • Le filtre orange apporte un effet plus prononcé : il éclaircit davantage les teintes chair et contribue à mieux faire ressortir les nuages d’un ciel tourmenté.
  • Le filtre rouge introduit une augmentation (parfois trop) importante du contraste : les ciels bleus sont rendus plus denses, les nuages s’y détachent ainsi très facilement. Mais ce filtre ne se prête guère aux portraits, car les teintes chair et les lèvres sont trop éclaircies.


Les paramètres des filtres rouge, orange et jaune (de gauche à droite)

  • Le filtre vert assombrit les rouges et éclaircit les verts, ce qui est particulièrement intéressant pour faire ressortir toutes les nuances d’un paysage verdoyant.
  • Quant au filtre bleu, son utilisation est plutôt restreinte. S’il accentue le brouillard et assombrit les verts et les rouges, il renforce également le bruit de certaines images prises à haute sensibilité et y introduit une texture souvent disgracieuse.


Les paramètres des filtres vert et bleu (de gauche à droite)

Grâce à l’utilitaire DNG Profile Editor, vous pouvez créer une série de profils dédiés aux photos noir et blanc : ouvrez une photo dans Camera Raw ou Lightroom, sélectionnez les paramètres par défaut, déplacez le curseur Saturation des Réglages de base à -100, puis enregistrez-la au format DNG. Ouvrez l’image dans DNG Profile Editor, appliquez-lui les réglages Camera Raw (Alt/Option + R), puis reportez les paramètres des filtres sur les curseurs de l’onglet Color Matrices. Enregistrez le profil (File>Export…profile) et redémarrez Lightroom ou Camera Raw : le nouveau profil s’affiche dans la liste des profils du panneau Étalonnage de l’appareil photo. Vous pouvez maintenant pleinement bénéficier de ces profils et les essayer un par un sur vos images, après avoir positionné le curseur de l’outil Saturation à gauche (-100).


Les profils noir et blanc n’apparaissent que lorsque vous ouvrez un fichier RAW pris avec l’appareil pour lequel ils ont été établis…

Bibble 5 Preview : outils de correction locale et flux de travail (Quatrième partie)

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Le flux de travail avec Bibble

Bibble parait assez hermétique au premier abord, opinion qui se modère lors d’une prise en main prolongée du logiciel. Voici quelques pistes pour faciliter l’apprentissage :

1. Pour bénéficier des fonctions de catalogage de Bibble 5, commencez par importer des images d’un dossier à partir du panneau Explorateur (commande Importer un dossier). Bibble 5 affiche ensuite un témoin d’activité au bas du panneau Explorateur : patientez quelques minutes pour permettre au logiciel l’importation des fichiers et la réalisation des vignettes et évitez d’ouvrir une image tant que le processus d’importation n’est pas achevé. Il est en revanche possible d’interrompre la génération des vignettes (témoin Previews) : cliquez une première fois sur l’icône située dans l’angle inférieur droit du panneau Explorateur pour l’interrompre, puis une deuxième fois pour redémarrer le processus. Le champ Mots-clés de la boite de dialogue Importation d’images permet d’attribuer des mots-clés communs à l’ensemble des fichiers importés, la fonction Renommage des fichiers permet de les renommer par lot.

2. Passez ensuite en mode affichage Vignettes (F8) pour afficher les vignettes dont vous pouvez ajuster la taille (Cmd/Ctrl. + molette de la souris).

3. Commence alors l’édition des images. Rotation à gauche ainsi qu’à droite (flèches situées au-dessus de chaque vignette), suppression d’images (Suppr) et attribution de marques, notes, libellés de couleur et mots-clés vous permettent de trier et organiser les fichiers pour trouver les meilleures images. La fonction Diaporama (Affichage>Diaporama, raccourci V) aide à faire défiler les images d’un dossier, l’Explorateur de métadonnées et l’Outil de filtrage à n’afficher que les images répondant à des critères précis. Vous pouvez maintenant effectuer vos corrections, les commandes Cmd/Ctrl. + C permettant de copier, puis coller (Cmd/Ctrl. + V) tout ou une partie des paramètres de développement, pour traiter des photos produites dans des conditions identiques. La commande Cmd/Ctrl.+Z, quant à elle, permet d’annuler la dernière correction appliquée, l’appliquez plusieurs fois pour annuler plusieurs corrections de suite. Le menu Préréglages permet d’enregistrer des paramètres prédéfinis, puis les appliquer aux images sélectionnées.

4. Corrigez, puis sélectionnez les images à traiter et ajoutez-les à une des files de traitement, soit par glisser/déposer sur une des files du panneau Files de traitement de l’onglet Exportation, soit à l’aide d’un des raccourcis clavier qui leur sont attribués:
• T pour obtenir des fichiers au format TIFF 16 bits par couche,
• 8 pour les convertir au format TIFF 8 bits,
• F pour générer des fichiers JPEG haute définition et
• J pour obtenir des fichiers JPEG basse résolution.

Pour développer un seul fichier, vous trouverez vraisemblablement dans la version finale une commande du style Fichier>Enregistrer sous.


La boite de dialogue Paramètres des traitements par lots

5. Les files de traitement autorisent le développement d’une quantité illimitée de fichiers, économisant ainsi de la mémoire, argument important pour un logiciel très gourmand en ressources. Notez que vous pouvez paramétrer chacune des files à l’aide des options de la boite de dialogue Paramètres des traitements par lots :

• Sous Nom de la file de sortie, vous pouvez renommer la file de traitement.
• Le menu Type d’exportation permet de spécifier, comme dans Capture One Pro et DxO Optics Pro, le développement simultané de plusieurs copies et formats d’enregistrement.
• Dans l’onglet Fichier, vous pouvez choisir le format de fichier (TIFF, PNG et JPEG), la profondeur d’échantillonnage et le nom des fichiers convertis. Le menu Taille de l’image permet de choisir la définition (optimale ou qualité épreuve), les dimensions (hauteur et largeur) et la résolution (ppp). Il est également possible d’ appliquer des jeux de paramètres prédéfinis (Appliquer des préreglages), de définir l’espace couleur (Espace couleur de sortie) et l’accentuation des fichiers convertis (Accentuation de sortie).
• Sous Métadonnées/Autre, vous pouvez définir lesquelles des informations à incorporer aux fichiers développés (métadonnées EXIF, XMP et/ou profil ICC). L’option Ouvrir dans une application permet d’ouvrir les fichiers convertis dans un logiciel d’image (Photoshop, Gimp, etc.).

La version finale du logiciel comportera également des files de traitement dédiées à la création de pages Web et à l’impression, autorisant la sortie directe de planches-contacts et tirages sur votre imprimante jet d’encre. Le logiciel dispose d’un moteur de conversion ICC permettant la prise en charge de profils d’impression. L’organisation du traitement par lot permet en outre le lancement simultané de plusieurs traitements, paramétrés différemment.

Lightroom : l’accentuation du contraste

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5. Une autre manière d’appliquer une courbe des tonalités à une image consiste à utiliser les paramètres prédéfinis. Ouvrez le panneau Paramètres prédéfinis et observez, dans le panneau Navigation, les effets obtenus en survolant les paramètres avec la souris.

6. Vous pouvez enregistrer vos paramètres pour les réutiliser plus tard. Cliquez sur l’icône +, à droite du panneau Paramètres prédéfinis. Dans la fenêtre qui apparaît, nommez le paramètre Fort Contraste. Cochez les paramètres à enregistrer et cliquez sur Créer.

7. Votre paramètre figure dans la liste des paramètres prédéfinis de l’utilisateur. Vous pouvez en créer autant qu’il vous plaira et les utiliser en fonction de vos besoins. Bien entendu, ces paramètres personnels ne sont pas limités aux seules courbes.

Voici la photo une fois les retouches effectuées.

Cet atelier est extrait du Cahier 1 Lightroom – Spécial débutants, coécrit par Cyril Bruneau et Bernard Richebé, paru aux éditions Eyrolles.

Lauréat du prix de Rome en photographie, Bernard Richebé est photographe publicitaire. Il collabore avec des agences prestigieuses, comme Euro RSCG, Publicis, CLM, ou McCann Erickson.

Cyril Bruneau est photographe et retoucheur dans le domaine de la publicité et de la photographie corporate ; il travaille pour les plus grandes entreprises (L’Oréal, Yves Rocher, Cartier, Vinci, Total…), ainsi que pour la presse (Paris Match, Le Monde…). On fait appel à lui pour réaliser des photos nécessitant une grande maîtrise de l’outil numérique. Pour consulter son blog pour les photographes, cliquez ici.

Bibble 5 Preview : outils de correction globale (Troisième partie)

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Andy, Siggy, Tony et Co – les modules externes de Bibble

Bibble est à ce jour le seul logiciel de développement à intégrer une interface permettant aux développeurs à concevoir des modules externes bénéficiant à la fois d’un traitement non destructif et des algorithmes de développement RAW du logiciel hôte. Il n’est donc pas nécessaire (contrairement à Aperture) de créer une copie de travail au format TIFF ou PSD pour appliquer les réglages du plug-in. Bibble 4 était livré avec six plug-ins conçus par le développeur Sean Puckett, d’autres, payants et gratuits, peuvent être téléchargés sur les sites Web de Sean, Maas Zeeman et Roger Barns. Notez que Bibble perpétuera cette tradition en incorporant certains de ces plug-ins à Bibble 5.


Les modules externes de Bibble (4) : tout un programme !

Voici les plug-ins des onglets « M1 » et « M2 » de Bibble 4 :

Siggy est un outil pour ajuster l’exposition d’une image sans pour autant écrêter ses hautes lumières et tons foncés. D’autres curseurs permettent de jouer sur le contraste et sur la tonalité des ombres et des hautes lumières.
Sadie applique un ajustement de contraste, globalement (curseur Saturation génerale>Globale) ou localement, grâce à plusieurs curseurs intervenant sur la luminance, les couleurs et les trois gammes de luminosité Tons foncés, Tons Moyens et Hautes lumières.
Roy (anciennement Huey) permet de corriger certaines gammes de couleur (RVB) de manière séparée, grâce aux paramètres Teinte, Luminosité (Valeur) et Saturation. Vous pouvez varier la tolérance (Curseur Centre) pour inclure plus ou moins de teintes à celles corrigées.
Andy est un outil très efficace pour la transformation noir et blanc. Plusieurs options pour l’émulsion (Agfapan 25, Fomapan 100, Tri-X Pan…), le papier (Agfa MultiContrast Premium, Fortezo…), le temps de développement, le grade du papier et l’exposition du film, du papier et de l’image finale permettent de multiples choix pour affiner le rendu final.
• Si Andy est dédié à la transformation noir et blanc, Tony est l’outil de choix pour appliquer un virage coloré à vos photos. Là encore, vous disposez de nombreux curseurs pour de réglages très fins.
• Le plug-in Gina offre, quant à lui, des corrections réservées aux teintes chair, pour réduire des défauts, pour modifier leur teinte et saturation et pour leur appliquer une accentuation ou un effet de flou.

Recadrer et redimensionner vos photos dans Bibble
Le recadrage et le redimensionnement de photos sont assez fréquents ; Bibble dispose là encore de tous les outils nécessaires.
• Outil de redressement (raccourci S) : permet un redressement rapide de lignes horizontales et verticales dans votre image.
• Curseur de recadrage (raccourci C) : commande de recadrage qui dispose d’un quadrillage assez large pour faciliter un recadrage au millimètre près.

• Taille de l’image : pour chaque file de traitement, vous pouvez définir dans ce menu de la boite de dialogue Paramètres des traitements par lots les dimensions de sortie de l’image ainsi que sa résolution. Comme Bibble n’emploie pas d’algorithmes particulièrement performants pour l’augmentation des dimensions, nous vous conseillons d’effectuer cette opération dans Photoshop, dont les deux nouveaux algorithmes Bicubique plus net et Bicubique plus lisse font des miracles.

A suivre…

Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !