Questions Photo

Bibble 5 Preview : outils de correction globale (Troisième partie)

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Corriger la distorsion optique : l’outil Corrections optiques

Bibble a été un des premiers logiciels de développement RAW à intégrer un outil pour la correction des défauts optiques. Initialement proposé sous forme de module externe basé sur PT Lens de Thomas Niemann, il a depuis intégré l’architecture du logiciel et rompu tous les liens avec PT Lens puisque les profils de correction de l’outil Corrections optiques sont aujourd’hui mis au point par les concepteurs de Bibble. Il utilise une base de données de profils de correction très étendue, puisque compatible avec une grande partie des appareils et optiques du marché. La correction via Bibble s’avère efficace et bénéficie de l’avantage d’agir sur le fichier brut de 12 ou 14 bits par couche, ce qui garantit une moindre détérioration des données. En analysant les données EXIF, l’outil reconnait l’appareil, l’objectif et la focale et permet ainsi une correction entièrement automatique des distorsions. Aussi précis que les outils de Canon DPP et Nikon Capture NX2, Bibble reste un peu en retrait face à DxO Optics Pro, le dernier étant en fait le seul à corriger les distorsions plus complexes en forme de moustache, dont souffrent de nombreux objectifs grands angle.


Choix de la marque, de l’appareil et de l’objectif- Bibble est particulièrement exhaustif quant au nombre des modules proposés

Lorsque vous activez la fonction Activer le vignetage, vous pouvez également corriger le vignetage. Le curseur Quantité détermine l’étendue de la correction (les valeurs positives éclaircissent les bords d’une image, les valeurs négatives l’assombrissent) et le curseur Rayon le diamètre de la zone de correction : plus le rayon est grand, plus la zone de correction est large.

Transformation monochrome : l’outil Noir et blanc

Bibble intègre depuis sa version 4.8 un outil très souple pour créer des interprétations mono- ou bichromes des images. Le module N et B (Noir et blanc) se trouve dans l’onglet Modules 1. Bien qu’il soit envisageable de procéder à une simple désaturation (en plaçant le curseur de la commande à sa position – 100), voire à l’application d’un profil ICC « spécial noir et blanc » (vous en trouverez à cette adresse pour Bibble 4), le module N et B donne facilement des résultats plus convaincants.

1. Cochez d’abord l’option Enable Black and White (Activer le noir et blanc).

2. Une liste déroulante permet ensuite de sélectionner une de onze interprétations proposées. Luminance n’utilise que la couche L d’un modèle L*a*b, Red Channel, Blue Channel ou Green Channel n’emploient qu’une des couches R, V ou B. Les autres options mélangent deux couches avec une pondération variable, donnant à chaque fois une tonalité différente des teintes de la photo. Pour apprécier les différences (et pour choisir une interprétation appropriée), il suffit de valider les options les unes après les autres, l’aperçu étant rafraîchi automatiquement.

3. Pour aller plus loin, les onglets First Spot Color (Première couleur) et Second Spot Color (Deuxième couleur) abritent deux sélecteurs de couleur pour colorer une image, moyennant une ou deux teintes personnalisées. Sélectionnez d’abord la mono- ou la bichromie (Ajouter la couleur), puis la ou les teintes en cliquant sur le(s) sélecteur(s) de couleur. Pour un ajustement très fin de la teinte, appuyez sur une des flèches gauche/droite (← →) de votre clavier. Le curseur Fuzziness (Diffusion) étend la coloration progressivement des tons foncés (0) aux tons clairs (180).

Retouche d’image : Comment choisir son écran ?

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Temps de réponse. Le temps de réponse d’un écran est un autre critère à prendre en considération. Bien qu’il n’est pas si important pour la retouche d’image, il l’est pour la vidéo et l’édition de jeux. Mesurés en millisecondes, le temps de réponse définit le temps nécessaire pour qu’un pixel passe du noir au blanc. De manière générale, les écrans TN ou PVA possèdent un meilleur temps de réponse que les écrans de type IPS.

Gamut. Pour le traitement d’images, le gamut (l’ensemble des couleurs qu’un écran est capable de restituer) est un point particulièrement important. Exprimé par le pourcentage d’un espace de travail donné, plus le gamut d’un écran est volumineux, mieux il restitue les couleurs d’une image. Alors que les écrans d’ordinateurs portables peinent souvent à reproduire les couleurs de l’espace sRVB et les écrans « bureautiques » y arrivent tout juste, les meilleurs écrans atteignent, voire dépassent le gamut de l’espace de travail Adobe RVB. Ce dernier est en effet suffisamment large pour les photographes adhérant à un flux de travail RVB, seuls ceux préparant leurs images à l’impression offset ont intérêt à choisir un écran qui est à même, une fois calibré, de couvrir les couleurs de l’espace ISO Coated.

Alors qu’il ne le couvre pas partout, le gamut de l‘écran Eizo ColorEdge CG 301W est plus volumineux que l’espace de travail Adobe RVB

Calibrage matériel ou logiciel. Le calibrage matériel ( calibration hardware ), uniquement proposé par les écrans les plus sophistiqués, permet d’appliquer les résultats du calibrage directement à l’électronique de l’écran, pour une meilleure précision de l’ensemble du calibrage . Grâce à lui, vous pouvez obtenir des courbes de gradation de bien meilleur qualité, puisqu’on on ne déforme pas le signal vidéo de la carte graphique de l’ordinateur. Il est également possible de vérifier le calibrage et de le refaire très facilement lorsqu’il ne vous convient pas. Qui plus est, aucune manipulation du menu OSD (menu interne qui permet d’appliquer les réglages de bases) n’est nécessaire et les erreurs humaines sont ainsi drastiquement réduites. Si le calibrage matériel a un coût certain, il s’impose aux photographes professionnels, tant pour la qualité, tant pour le gain de productivité et de sécurité obtenu.
Quant aux amateurs éclairés, ils peuvent choisir sans (trop de) regret un écran un peu plus modeste, dépourvu du calibrage « matériel », mais présentant des qualités similaires, avec un gamut étendu et une qualité de fabrication équivalente. Le fabricant Eizo, pour en nommer un exemple, propose la gamme Flexscan, particulièrement adaptée aux photographes amateurs exigeants et aux photographes professionnels ne disposant que d’un budget limité. Le calibrage avec ce type d’écran se réalise avec le logiciel de votre colorimètre ou spectrophotomètre et le résultat ainsi obtenu reste d’un très bon niveau.


Eizo FlexScan S2232W-bien qu’il ne bénéficie pas du calibrage matériel, cet écran possède un gamut étendu et des caractéristiques d’affichage particulièrement homogènes

Si tous les écrans méritent d’être calibrés et caractérisés pour en tirer la quintessence, il en existe qui ne sont guère adaptés à la retouche d’image : ainsi, évitez les écrans grand public à dalle TN, tous les écrans recouverts par une plaque en verre ou en plastique brillante ( notamment les écrans des derniers iMac…) et enfin les ordinateurs portables. Ces écrans sont certes flatteurs, mais ne donnent en aucun cas satisfaction pour la retouche photo.

En ce qui concerne la connectique, les prises DVI ou Dual-DVI équipent aujourd’hui la majorité des écrans haut de gamme, de même que la plupart des ordinateurs récents. Les écrans vidéo possèdent souvent des prises de type HMDI, YuV, S-vidéo ou SDI. Toutefois, sachez que la plupart des ordinateurs portables ne sont pas assez puissants (carte graphique et mémoire VRAM) pour recevoir des écrans de grande taille. Vérifiez donc avant l’achat de votre futur écran la compatibilité avec votre équipement informatique. Si la connexion n’est possible qu’en VGA (analogique), vous pouvez ajouter un convertisseur , souvent fourni par le constructeur de l’ordinateur ou de l’écran. Cependant, pour obtenir la meilleur qualité d’affichage, rien ne vaut le branchement direct.

Pour finir, vérifiez la durée de la garantie : si celle-ci ne dépasse pas la première année, on pourrait craindre une fiabilité toute relative. Certains fabricants offrent trois, voire cinq ans de garantie sur site et/ou par enlèvement – vous pouvez alors considérer que le constructeur accorde une grande confiance dans la fiabilité de son matériel. Voici les marques d’écrans les plus réputées et distribuées en France : Eizo, LaCie, NEC et Quato (liste non exhaustive…).

Expert en gestion des couleurs et formateur au sein d’une société réputée pour ses solutions « Arts graphiques », Olivier Bayart est aussi un homme du terrain, ayant participé à la mise en place de nombreuses chaines graphiques dans la presse quotidienne et magazine, la publicité, la communication, l’édition et l’univers de la photographie.

Camera Raw 5.3 : styles d’image et rendu des couleurs (Première partie)

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Profil Camera Neutral

A peine plus saturées qu’avec le style d’image Neutre de DPP, les couleurs sont ici reproduites avec la même fidélité. Réservez ce profil à toutes les images pour lesquelles vous privilégiez une restitution fidèle des teintes et auxquelles vous consacrez un post-traitement important dans Photoshop.


Camera Raw….


…et DPP

…les différences sont négligeables

Profil Camera Faithful
Optimisé pour une température de couleur de 5200 K, le style Fidèle est surtout préconisé pour des reproductions d‘œuvres d’art et autres photos de studio (sinon, il produit des images ennuyeuses…). Si le profil Camera Neutral tend à accentuer les rouges (il n’est donc pas aussi neutre qu’il ne le prétend…), le profil Camera Faithful produit des couleurs moyennes saturées et conformes au style Fidèle de Canon DPP.


Profil Camera Faithful dans Camera Raw

Style d’image Fidèle dans DPP


La copie est plus saturée que l’original, mais plus fidèle aux couleurs de la mire ColorChecker

DxO Optics Pro 5.3 et DxO Film Pack 2 : quelles nouveautés ?

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Pour appliquer le grain, qui est l‘étape de finition de la conversion en aspect argentique, il faut afficher une portion significative de l’image avec un grossissement d’au moins 75% (boîte de dialogue Niveau de zoom) et choisir la force du grain :

  • le choix du format (taille du grain) permet de reproduire, au format nominal du fichier de base (par exemple A4 pour un fichier de 6 Mpix, A3 voire A2 pour des fichiers de 12 à 15 Mpix) le type de grain assez épais d’un 24 × 36, assez fin d’un moyen format, et très fin d’une chambre grand format ; ces variations à film identique tiennent compte de la taille du cliché en argentique d’origine, car plus le format est large, moins le grain est agrandi pour la même taille de tirage ;
  • l’intensité du grain permet de moduler les effets voulus selon le type d’image.

Cela va sans dire, mais cela est plus sûr en le disant, on peut parfaitement appliquer un grain qui diffère de celui du profil de film choisi pour le rendu général et la colorimétrie, et faire des “créations” comme couleur de Fuji Velvia avec un grain de Kodak Tri X…

Pour terminer le traitement il suffit ensuite de sauvegarder l’image au format choisi, du JPEG ou du TIFF, et même en 16 bits si l’original est à ce format !

Nikon D60 et effet Venturi, l’atout antipoussières

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Contre les poussières grasses : le traitement logiciel
Le D60 permet grâce à l’onglet Photo Corr Poussière, accessible via le menu du boîtier, de réaliser une image (sujet uni blanc à 10 cm de l’objectif, diaphragme fermé au maximum et mise au point en l’infini) qui pourra servir de référence “Image Dust Off” afin de faciliter l‘élimination des poussières présentes sur les images RAW avec le logiciel Capture NX2 (disponible en option). Cette image sera enregistrée avec une extension particulière : .NDF, que seul le logiciel Nikon pourra reconnaître. Ainsi lorsque vous souhaiterez corriger les poussières de vos fichiers, il vous suffira d’aller dans la palette Liste de modifications et de choisir dans l’onglet Corrections de l’appareil et l’objectif, le réglage Correction poussière, où vous pourrez charger votre image de référence. Grâce à elle, le logiciel repère où sont situées les poussières et remplace automatiquement les pixels “sales” par les pixels adjacents. Evidemment, il est préférable d’utiliser une image de référence réalisée à la même période que les photos que vous souhaitez corriger, et donc d’en faire régulièrement. Malheureusement, ce procédé ne permet pas de nettoyer concrètement le capteur, mais seulement de corriger les images réalisées avec le boîtier. Ce n’est donc qu’une solution pour traiter le symptôme des poussières grasses et non pour en éradiquer la cause.

Nettoyer son capteur manuellement
Bien que les solutions proposées par le D60 fassent montre d’une certaine efficacité, elles ne font que retarder un nettoyage inéluctable. Si vous ne souhaitez pas vous rendre dans un espace Nikon où un professionnel pourra s’en charger, il vous faudra nettoyer vous-même le filtre passe-bas de votre capteur à l’aide d’une soufflette ou d’un kit de nettoyage. En effet, ce n’est pas le capteur lui-même qu’il faut dépoussiérer, mais le filtre passe-bas placé devant celui-ci. La fréquence de nettoyage du capteur dépend de votre cadence de photographie, et il n’est pas utile de le faire trop régulièrement, mais seulement lorsque vous commencez à percevoir des défauts sur vos images. Le meilleur moyen pour vous rendre compte de l’efficacité de votre nettoyage, après-coup, est de photographier une surface blanche et unie avec une profondeur de champ étendue. Une fois l’image réalisée, vous pourrez l’observer sur un écran d’ordinateur à 100 % pour vérifier s’il reste encore des taches et des poussières sur le capteur.

Les outils les plus courants pour dépoussiérer le capteur de votre reflex sont la soufflette et le kit de nettoyage :

  • bon marché, la soufflette est d’une efficacité faible. Utilisée pour souffler de l’air dans la chambre reflex, celle-ci ne fera que déplacer les poussières sèches présentes, voire ajouter les poussières alentours et présentes dans sa cavité. Le plus efficace est de l’utiliser pour “aspirer” les poussières volatiles, c’est-à-dire de vider l’air qu’elle contient et de la remplir avec l’air présent dans la chambre reflex. Ce procédé reste laborieux dans la mesure où entre deux aspirations, il faut arriver à extraire les poussières du ventre de la soufflette ; il ne résout par ailleurs pas le problème des poussières grasses ;
  • plusieurs marques (SensorSwab ou Visible Dust, par exemple) commercialisent un kit de nettoyage composé d’un liquide nettoyant et de bâtonnets adaptés à la surface du filtre qui vous permettront de nettoyer efficacement votre capteur, sans prendre le risque de l’abîmer. Pour les utiliser, le plus pratique est de fixer son boîtier sur un trépied avant de verrouiller le miroir, puis de suivre les instructions du fabricant.

Bibble 5 Preview : fonctions de catalogage (Deuxième partie)

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Attribuer des notes, libellés de couleur et marqueurs

Alors que les marqueurs se chargent d’une classification « tripolaire » des images d’un dossier (fichiers retenus, rejetés ou neutres), les libellés de couleur sont très utiles pour classer les images suivant leur utilisation finale (images en vue d’un assemblage panoramique ou d’une fusion HDR, nécessitant un posttraitement plus étendu, déstinées à une banque d’image, à un site Web, ou dotées de restrictions quant à leur diffusion, etc.) et les notes suivant leurs qualités (de 0 à 5 étoiles). L’outil Explorateur de métadonnées vous aidera dans les deux cas à n’afficher les images répondant aux critères recherchés, notamment pour filtrer les images au fur et mesure de leur notation. Sélectionnez les images auxquelles attribuer des notes, libellés ou marqueurs, puis cliquez sur une des icônes de la barre d’outils. Alternativement, vous pouvez appuyer sur une des touches numériques (entre 0 et 5) pour les noter ou sur les touches « . » (Point) et « , » (Virgule) pour leur attribuer des marqueurs « Retenu » ou « Rejeté ». Il est également possible de sélectionner le libellé correspondant depuis le menu Édition.

Ajouter des mots-clés

L’attribution de mots-clés est une des manières les plus simples et plus puissantes de classer ses images. Les mots-clés leur apportent des précisions supplémentaires sur le sujet de prise de vue , le client ou la commande et/ou l’endroit où vous les avez prises. Il est également possible d’utiliser les fonctions de recherche des systèmes d’exploitation modernes pour repérer les images qui portent un mot-clé particulier. Bibble 5 enregistre les mots-clés au sein des fichiers annnexes « .xmp » et dispose d’une panoplie d’outils pour attribuer et gérer des mots-clés :
• Utilisez la boite de dialogue Importation d’image pour ajouter des mots-clés communs à l’ensemble des photos à importer.

• Les panneaux Mots-clés des onglets Standard et Métadonnées permettent d’appliquer des mots-clés aux photos sélectionnées. La virgule sert alors à séparer des mots-clés de statut équivalent ( Voyages, Famille, Vacances), le point-virgule à établir une hiérarchie entre plusieurs mots-clés (Europe ; France ; Paris).

• Le panneau Jeux de mots-clés propose plusieurs ensembles de mots-clés par défaut qui, bien qu’ils ne présentent que peu d’intérêt, peuvent être facilement complétés par d’autres, plus utiles. Cliquez sur Gérer pour ouvrir le gestionnaire des mots-clés : les boutons Ajouter des mots-clés et Ajouter un mot-clé enfant aident à construire une hiérarchie de mots-clés, le bouton Supprimer le mot-clé permet de supprimer des mots-clés inutilisés, les boutons Ajouter un groupe et Retirer d’ajouter ou de supprimer un ensemble de mots-clés. Il est également possible d’importer ou d’exporter une liste de mots-clés ou d’attribuer le libellé « Privé » à certains mots-clés que l’on ne souhaite pas inclure aux informations des fichiers développés : il est ainsi possible d’attribuer des mots-clés aux images nécessitant certaines retouches ou aux images le plus vendues, sans pour autant permettre à d’autres de consulter ces informations confidentielles. Notez que vous pouvez attribuer des raccourcis clavier aux mots-clés ou aux ensembles de mots-clés les plus courants.

Nikon D3x : prise en mains, première partie

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AF-S 14-24 mm f/2.8G ED


14-24 à 24mm – f/5,6 – 1/60 sec ISO 100


Extraits à 100 %

On se demande si le 14-24 mm n’aurait pas été calculé dès le départ pour très bien fonctionner avec le D3x. Cela semble flagrant à la vue des résultats.


14-24 à 19mm – f/5,6 – 1/125 sec ISO 100

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Extrait à 100 %

AF-S VR 200 mm f/2G ED-IF

Ce téléobjectif est aussi une valeur sure : très très beau rendu, même avec un convertisseur TC-17E II.


200mm – f/4 – 1/350 sec ISO 200 VR activé


Extrait à 100 %


200mm + TC17 (soit 340mm) – f/5,6 – 1/180 sec ISO 200 VR activé


Extrait à 100 %

Rien à signaler par rapport au Nikon D3 : même qualité, même rendu, même colorimétrie. Toutefois, l’emploi d’excellentes optiques est plus que jamais requis si la quintessence de cet appareil doit être exploitée.
Je trouve particulièrement frustrant de devoir présenter ces images à 450 pixels de large, ou recadrées avec une compression jpg. Si vous n’avez qu‘à alimenter un blog en photographie, le D3x n’est pas vraiment obligatoire…

Bref, pas de surprise en utilisation courante. Qu’en est-il à haute sensibilité ? Et qu’apporte réellement l’augmentation de la résolution à 24,4 millions de pixels ?

À suivre…

Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !