Questions Photo

Photoshop CS3 : le Tampon et la palette Source de duplication (tutoriel)

labbe_2

La duplication avec transformation

Quand les pixels à dupliquer (source) sont sur une photo où ils apparaissent plus grands ou plus petits que ceux de la destination, vous pouvez appliquer des transformations (ou la rotation) sur les pixels de la source par la palette Source de duplication. L’affichage de l’incrustation et l’utilisation des cases L et H avec les touches fléchées facilitent l’ajustement, puisque chaque changement de valeur est répercuté sur l’aperçu du spectre de la source.


Quand la source est de taille différente par rapport à la destination, on ajuste par transformation avec les cases L et H.


La destination à gauche et légèrement plus grande que la source de duplication à droite. On peut agrandir les pixels dupliqués par la palette Source de duplication. Ci-dessous le résultat et les détails de mise en place des pixels avec l’affichage de l’incrustation.

Auteur de nombreux ouvrages de référence sur Photoshop, Illustrator, InDesign et XPress, Pierre Labbe est l’un des formateurs les plus réputés dans le monde de l’infographie. Il intervient sur Wisibility, le blog de formation en vidéo sur Photoshop et les métiers de l’image.

Camera Raw, Lightroom et fichiers Bitmap

cr-jpeg-1

Aussi “éprouvé” que cela puisse paraître (il est tout de même nécessaire de synchroniser les préférences de trois logiciels pour ouvrir des fichiers JPEG), l’exercice se révèle plutôt ardu pour les fichiers TIFF qui refusent de s’ouvrir dans l’interface de Camera Raw. Je n’ai pu les ouvrir qu’après avoir purgé la mémoire cache de Bridge (Outils>Mémoire cache>Purger la mémoire cache du dossier…).

Canon 1Ds, EF 70-200 mm L USM f/4

Importer des fichiers JPEG et RAW dans Lightroom

Certains photographes de reportage enregistrent systématiquement, à la prise de vue, un fichier JPEG en complément d’un fichier RAW ; ils disposent ainsi non seulement d’un fichier destiné à l’archivage et aux retouches ultérieures, mais également d’un fichier immédiatement disponible et prêt à l’emploi. Le mode d’enregistrement “RAW+JPEG”, proposé par la plupart des appareils reflex numériques récents, permet de bénéficier des algorithmes (parfois très performants) pour réduire le bruit aux sensibilités ISO élevées…

Pour transférer les photos de la carte vers le disque dur, beaucoup utilisent encore le “copier/coller”, méthode plutôt rustique, mais sûre. Lightroom et Bridge 2.x offrent des modules bien plus sophistiqués : outre le transfert de données, il vous permettent de renommer vos fichier, de les copier vers un deuxième emplacement, puis de leur appliquer certaines métadonnées, mots-clés et paramètres de développement. Les fonctionnalités des deux modules d’importation sont très similaires, cependant il existe une différence de taille : si Bridge accorde la même importance aux fichiers RAW et JPEG, Lightroom privilégie les fichiers RAW en regroupant les deux fichiers en une pile indissociable, puis en autorisant uniquement l’exportation du fichier RAW.

Les deux fichiers, RAW et JPEG, sont indissociables l’un de l’autre.

En cochant l’option Traiter les fichiers JPEG proches des fichiers RAW en tant que photos distinctes, le fichier JPEG est “réhabilite” par Lightroom ; modification et exportation sont enfin possibles.

Heureusement, il existe un remède : dans les préférences de Lightroom, il suffit de sélectionner, dans l’onglet Importer, l’option “Traiter les fichiers JPEG proches des fichiers RAW en tant que photos distinctes” pour que le logiciel autorise l‘édition séparée de chaque fichier.

Ouvrir des fichiers JPEG en tant qu’objets dynamiques

Photoshop CS3 et Camera Raw 4 permettent d’exporter un fichier RAW, TIFF ou JPEG en tant qu’objet dynamique. Les objets dynamiques sont en fait très utiles quand on veut effectuer des corrections locales tout en préservant la possibilité d’intervenir sur les réglages de Camera Raw. Ainsi, vous emploierez Camera Raw en tant que calque de réglage.

Cochez pour cela l’option Ouvrir dans Photoshop comme objets dynamiques, du panneau de réglage Options du flux de production, de Camera Raw. Cliquez ensuite sur le bouton Ouvrir un objet, pour ouvrir votre image comme objet dynamique. Il est ensuite possible de lui ajouter, dans Photoshop, d’autres objets dynamiques (Calques>Objets dynamiques>Nouvel objet dynamique par Copier), des calques de réglage et tracés pour ne modifier qu’une partie de l’image – laquelle restera toujours modifiable tant que vous ne l’aplatissez pas, via un double-clic sur l’icône de sa vignette.

Transformations noir et blanc

La commande Mélange des niveaux de gris, commune à Lightroom et Camera Raw, s’apparente en fait à la commande Mélangeur de couches de Photoshop. Les huit curseurs offrent bien davantage de souplesse et précision, même comparé à la nouvelle commande Noir et blanc de Photoshop qui opère, elle, sur six curseurs.

Un utilisateur souhaitant effectuer une transformation noir et blanc pourra donc la faire dans le module Camera Raw, bénéficiant ainsi d’un des nombreux préréglages disponibles sur le Web. Mais n’oublions pas non plus la commande Noir et Blanc de Photoshop qui intègre d’office dix préréglages, tout en permettant la création de préréglages personnalisés. Mais là encore, rien ne remplace la souplesse de Lightroom qui permet la création de copies virtuelles et d’instantanés. Vous pouvez ainsi créer autant de variations de votre fichier que vous le souhaitez – chaque variante n’occupant que quelques kilooctets sur votre disque dur !

EOS 1DS, Nikon Micro-Nikkor 3.5/55 mm

Historique, copies virtuelles et Instantanés

Les fichiers de type JPEG sont bien évidemment particulièrement sensibles à des enregistrements successifs. Opérant à chaque étape une compression destructive, le fichier en bout de chaîne aurait perdu une bonne partie de ses informations couleur. Pour y remédier, vous pouvez le convertir au format TIFF dès sa première ouverture. Mais Lightroom (et dans une moindre mesure Camera Raw) offre une approche bien plus respectueuse. Enregistrant toute modification dans un fichier annexe, le fichier d’origine ne sera jamais altéré, à moins que vous ne le remplaciez par le fichier exporté.

Lightroom propose en prime la création de copies virtuelles que vous pouvez utiliser pour créer autant de variations d’un fichier que vous souhaitez – ce qui est parfait pour essayer des réglages différents. L’historique du logiciel répertorie toutes les modifications effectuées et les mémorise pour une durée indéterminée, contrairement à Photoshop qui préserve ces informations jusqu’à la fermeture du logiciel. Le panneau Instantanés, conçu pour travailler de concert avec le panneau Historique, sert à enregistrer différents instantanés d’une image, évitant d’avoir à parcourir la longue liste de l’historique à la recherche d’un état précis.

En guise de conclusion

Nous l’avons déjà évoqué, Camera Raw et Lightroom apportent certains avantages dès lors que vous les utilisez pour traiter vos fichiers TIFF et JPEG. D’une part, vous préserverez le flux de travail déjà mis en œuvre pour vos fichiers RAW, et d’autre part vous bénéficierez de certains outils soit encore introuvables, soit difficilement accessibles dans Photoshop, notamment les curseurs Clarté et Vibrance de l’onglet Réglages de base, la courbe paramétrique ainsi que les curseurs des onglets Détail, TSL/Niveaux de gris, Virage partiel et Correction de l’objectif.

Certes, un utilisateur expérimenté trouvera toujours de quoi reproduire les réglages de Camera Raw dans Photoshop, mais Camera Raw et Lightroom ont le mérite de regrouper l’ensemble des outils dans une interface utilisateur limpide et accessible.

N’espérez pas retrouver la souplesse d’un fichier RAW, le fichier JPEG impose naturellement ses limites au moteur de conversion de Camera Raw. Le curseur Récupération, par exemple, est incapable de récupérer quoi que ce soit des couches écrêtées d’un fichier JPEG ou TIFF, le curseur Lumière d’appoint peine à restituer des détails dans les ombres sans pour autant provoquer une montée de bruit importante.

DxO Optics Pro 5.0 – Chronique d’une naissance prématurée

dxo-5-1


Nikon D200, AF-S 2.8/17-55 mm DX, 1600 ISO


Extrait de l’image précédente : Lightroom produit cette fois-ci le meilleur résultat grâce à une correction parfaite du bruit chromatique et à une quasi-absence d’artéfacts colorés – toutefois au prix d’une perte, à la fois sur le contraste local et les informations de couleurs. La nouvelle version de DxO offre ici une meilleure qualité d’image que l’ancienne : les artéfacts colorés sont moins visibles. En jouant sur les réglages de la réduction du bruit, vous pouvez sans doute restituer davantage de détails avec DxO Optics Pro – les bogues à répétition m’ont découragé trop vite !


Canon EOS 1Ds, EF 4/17-40 mm L USM, 800 ISO


Prise à 800 ISO, cette image assez bruitée bénéficie du passage dans DxO et Lightroom. Les deux logiciels réduisent le bruit sans pour autant détruire la netteté ; DxO garde une petite avance grâce à une résolution légèrement plus élevée ; Capture One, le perdant de cette comparaison, surprend par l’introduction d’une texture granuleuse assez disgracieuse (“grain de poivre”) qui remplace le bruit d’origine.

Il est dommage que DxO Labs n’ait pas su retarder le lancement de cette cinquième génération pour en éliminer les quelques bogues qui la rendent (au moins pour l’instant…) impraticable. L’éditeur a tout de même réussi la composante la plus critique d’un logiciel de développement : son moteur de conversion. Il était temps que la DxO Raw Engine rattrape les ténors du marché et c’est chose faite : fort d’un excellent équilibre pour la réduction du bruit, la netteté et la suppression des artéfacts colorés, le logiciel exploite enfin tout le potentiel des fichiers RAW pour en produire des images numériques naturelles et bien définies. Reste à rendre la “carrosserie” (interface utilisateur) et le “châssis” (architecture logicielle) fiable pour que ce moteur (de conversion) surpuissant puisse évoluer vite et bien !

Quand SilverFast rencontre Lightroom…

sf-lightroom

Traitement dans Lightroom

Je l’ai déjà évoqué : le logiciel de numérisation ne me sert qu’à envoyer un fichier “brut de scan” à Lightroom. Je n’utilise ainsi que des commandes Exposition, Histogramme et Ajustement de la gradation pour faire rentrer toutes les informations de l’original (négatif noir et blanc ou couleur, diapositive) à l’intérieur de l’étendue dynamique de mon scanner – le but étant d’obtenir un histogramme dépourvu de crête aux extrémités, ce qui sinon traduirait un écrêtage des ombres ou des hautes lumières.

A ce stade, il est également important de régler l’équilibre colorimétrique (balance des blancs) et d’activer la fonction de dépoussiérage du scanner (ICE, FARE, iSRD). Lorsque je numérise mes originaux noir et blanc, je préserve les trois couches (c’est-à-dire que je renonce à la conversion en niveaux de gris préconisée par l’éditeur du logiciel…), puis j’effectue une transformation dans Lightroom via le panneau TSL/Couleur/Niveaux de gris dont les curseurs offrent une souplesse incomparable.


Helga, Taibei, Taiwan. (C) Volker Gilbert 1995

Les différents outils des panneaux Réglages de base et Courbe des tonalités sont bien utiles pour peaufiner le rendu final des fichiers scannés. Je recommande l’emploi immodéré (enfin, presque…) des curseurs Clarté et Vibrance pour améliorer le contraste local et la saturation de vos fichiers.

Notez que Lightroom offre une commande d’accentuation USM parfaitement adaptée aux fichiers scannés. Fonctionnant en mode Lab, tout comme son alter ego dans SilverFast, elle n’augmente pas le bruit (déjà assez important) de l’image argentique (le grain du film) et intègre une protection des aplats (curseur Masquage).

Bien que la fonction de dépoussiérage de votre scanner soit censée éliminer la plupart des rayures et poussières de votre original, la commande Supprimer les tons directs (raccourci N) est idéale pour bien nettoyer les taches blanches et noires qui subsistent : sélectionnez l’option Corriger, puis cliquez sur les imperfections. Déplacez ensuite le deuxième cercle (qui définit la source) pour sélectionnez une zone qui servira à recouvrir le défaut. Le mode Corriger fusionne en effet la texture du point d’origine avec la luminosité et la couleur situées à proximité de la zone à retoucher.

En guise de conclusion

A défaut de proposer une “véritable” interface pour des plug-in de numérisation ou une interface de type TWAIN, Lightroom est l’outil idéal pour tout photographe qui souhaite importer, gérer, cataloguer et traiter ses photos argentiques numérisées au même titre que les fichiers issus d’un appareil photo numérique. Véritable passerelle entre les mondes argentique et numérique, tout comme le logiciel de numérisation, Lightroom possède non seulement des outils d’une efficacité certaine, mais également un traitement non destructeur qui permet de préserver les “bruts de scan”, quelle que soit l’étendue des modifications…

Téléchargement

HDR – Nouveau langage visuel ou technique insolite ?

hdr-1

Fusion et ToneMapping

Nous l’avons évoqué plus haut : la première étape du traitement HDR consiste à fusionner plusieurs photos LDR (Low Dynamic Range) en une seule image HDR codée en 32 bits par couche. Utilisant davantage de bits par pixel que les formats d’images classiques (8 bits ou 16 bits par couche), les formats de fichiers codés en 32 bits par couche (TIFF 32 bits, Open EXR, Radiance RGBE, LogLuv etc.) enregistrent jusqu’à 4,3 milliards de nuances, bien plus que ce qu’un écran actuel est capable de reproduire. Notez que certains formats de fichiers HDR offrent un codage jusqu‘à 96 bits par couche, le nombre de nuances étant variable (“à virgule flottante”)…

Plusieurs logiciels maîtrisent l’élaboration d’une image HDR. Depuis sa version CS2, Photoshop offre le mode 32 bits/couche et la fusion HDR de plusieurs fichiers RAW, TIFF ou JPEG. Ouvrez la boîte de dialogue Fichier>Automatisation>Fusion HDR, puis sélectionnez les images à combiner ; il est également possible de les ouvrir en passant par Bridge (Outils>Photoshop>Fusion HDR).

Photoshop crée d’abord l’image “composite” puis propose de générer un fichier 32 ou 16 bits/couche.

Très performant pour la fusion des images (c’est-à-dire pour la création du fichier HDR), le module HDR de Photoshop CS2/CS3 ne suffit guère à la redistribution des tons (Tone mapping), étape cruciale pour adapter l’énorme étendue dynamique de l’image HDR aux capacités de la chaîne graphique (affichage et impression) : les résultats restent trop ternes et manquent de saturation, malgré l’interaction de plusieurs outils de correction (Gamma, Luminosité, Adaptation locale et Courbe de virage et histogramme).

Malgré l’application simultanée de plusieurs réglages, le résultat demeure assez triste et peu saturé.

Un passage dans Photoshop ou LightZone s’impose…

Grâce à ses outils aussi astucieux qu’efficaces, LightZone est parfait pour la postproduction de vos images HDR.

Le Tone Mapping se base sur une adaptation du contraste local tout en imitant la vision de l’œil humain. Les algorithmes mathématiques tiennent compte de la capacité de l’œil à s’accommoder des variations de luminosité très importantes : très sensible pour distinguer des détails dans les zones sombres d’une scène, l’œil s’adapte rapidement à une luminosité abondante. Cette aptitude à distinguer à la fois les nuances les plus lumineuses et les plus sombres d’une scène se compare à un appareil photo numérique dont ont peut contrôler la vitesse d’obturation pour chacun des photosites, selon leur positionnement sur le capteur.

Calibrage et format RAW

calibration_raw

Bibble : aussi complet que… complexe

Faisant figure de véritable ancêtre parmi les logiciels de développement RAW, Bibble offre des fonctionnalités presque infinies pour le traitement des fichiers RAW, tout en étant particulièrement rapide pour le développement. “Usine à gaz” aux boîtes à outils multiples, Bibble est, hélas, plus complexe que ses confrères.

Bibble simplifie la création de profils d’entrée : quand on sélectionne le paramètre Aucune dans le menu déroulant Gestion des couleurs (onglet Divers), Bibble n’applique ni profil d’entrée, ni courbe de transfert pour le gamma.

Le fichier résultant est très sombre (à cause d’une valeur de 1.0 pour le gamma…), ce qui perturbe certains logiciels de création de profils, notamment Input 3 de l’éditeur allemand BasICColor. Profile Maker et l’application en ligne ColorXact compensent en revanche automatiquement le manque de luminosité.

Vous pouvez appliquer un profil personnalisé grâce au menu Profil personnalisé d’entrée, de l’onglet Divers. Activez les options “Appliquer profil d’entrée personnalisé” et “Le profil inclut des corrections couleur”, puis sélectionnez le profil en question.

Le gamut du profil créé varie suivant le procédé utilisé par le logiciel de développement RAW : fichier “semi-brut” dématriçé et à gamma linéaire (Bibble) ou corrigé (SilverFast), et fichier caractérisé par un profil “neutre” (Capture One).

Peut-on créer un profil ICC pour son appareil photo ?

calibrage

Réglage de la balance des blancs

Afin que vous puissiez attribuer le profil à des photos prises dans des conditions d’éclairage très variées (en excluant tout de même, nous l’avons déjà évoqué, certaines sources d’éclairage artificielles…), je vous recommande d’effectuer une balance des blancs manuelle dès la prise de vue. Photographiez de préférence une cible en gris neutre (QP Card, White Balance Card, Whibal, Digi Grey…), puis appliquez le réglage résultant à toutes les photos de la cible de calibrage. Sachez toutefois que ce réglage manuel n’est pas toujours correctement interprété par les logiciels de développement RAW ; il sera ainsi souvent nécessaire d’affiner le réglage en utilisant la pipette de l’outil Balance des blancs de votre logiciel de développement.

Assistants indispensables à la création de profils. De gauche à droite : cellule flashmètre Minolta, White Balance Card de Christophe Métairie, QpCard, cellule flashmètre Gossen et charte Digi Grey.

Eclairage et exposition de la charte

Photographiez votre cible de calibrage sous un éclairage « standard » (lumière du jour, flash électronique ou, par défaut, éclairage domestique de type tungstène). L’uniformité de l‘éclairement est très importante : certains logiciels de création de profil rejettent en effet une photo dont les quatre coins ne bénéficient pas du même niveau d’illumination. Une cellule flasmètre vous aidera à détecter, puis à corriger d’éventuels écarts d’exposition. La cellule est également très utile pour déterminer l’exposition de la charte, assez délicate : la plage J10 de la mire Digital Target 003 de Christophe Métarie, par exemple, doit afficher dans Photoshop une valeur de 50 pour la composante L (en mode Lab). Faites une petite série de prises de vue, articulée autour des données d’exposition proposées par votre appareil, en utilisant le mode Bracketing de votre boîtier, puis sélectionnez dans Photoshop l’image la mieux exposée.

Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !