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Camera Raw : l’outil Pinceau de retouche

3. Clicio Barroso et Ettore Causa sont à l’origine du paramètre prédéfini Adoucir la peau livré avec Lightroom 2 : basé sur une clarté négative (- 100) et une valeur de 25 pour la netteté, ce réglage s’impose pour adoucir la peau d’un portrait et pour en gommer certaines imperfections. Dans Camera Raw, vous pouvez l’enregistrer en tant que paramètre prédéfini grâce à l’option Nouveau paramètre de correction locale du menu contextuel propre au menu Pinceau de retouche. Je l’ai appliqué ici localement au visage et à la main du bébé afin d’adoucir la peau.

4. Pour finir, j’ai accentué la netteté des cheveux, des yeux et du vêtement de la petite fille (+ 50), sans pour autant accentuer le bruit dans les parties sombres de l’image.

Cet article se base sur des extraits de la troisième édition de l’ouvrage Développer ses fichiers Raw , paru aux éditions Eyrolles début juin 2009.

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5 commentaires “Camera Raw : l’outil Pinceau de retouche

  1. On espère pour la suite qu’il sera possible d’avoir un forme différente pour le pinceau (ou un autre outil de retouche locale) car le rond n’est pas toujours adapté pour certaines opérations.

    Par ailleurs concernant l’ouvrage « Développer ses fichiers raw », je pense que les éditeurs n’ont toujours pas d’offre pour les acheteurs des versions précédentes et c’est bien dommage car quelque part c’est aussi eux qui permettent aux versions suivantes d’exister. J’ai acheté la 1ère version que j’avais trouvé fort intéressante sur le principe du raw et je suis certain que la version 3 doit l’être aussi vu les évolutions logicielles depuis mais je refuse de payer à nouveau plein pot. Il devrait être possible d’avoir un tarif préférentiel en justifiant de l’achat de la 1ere version. Mon petit coup de gueule du moment.

    Bonne journée

  2. @ nohant : je conviens avec vous pour le principe. Mais ce n’est pas si simple à mettre en oeuvre car la rédaction, la relecture, la mise en page et l’impression d’un ouvrage engendrent des coûts que l’on ne peut pas comprimer à souhait… c’est qui est envisageable pour un e-book (et là encore, si au final, personne n’y gagne son pain, à quoi bon écrire et publier des bouquins…), ne fonctionnerai donc pas pour un ouvrage imprimé. La « mise à jour » d’un livre (la troisième édition de Développer ses fichiers RAW est plutôt un nouvel ouvrage, vu le nombre de modifications et ajouts apportées…) n’a donc rien à voir avec celle d’un logiciel !
    P.S : Désolé, j’ai toujours du mal à m’accommoder du côté râleur des français, et ce depuis avoir vécu en France depuis plus de dix ans…

  3. Bien d’accord avec Volker : la mise à jour d’un ouvrage nécessite au moins autant de travail que la rédaction originale. Et ces mises à jour sont inévitables.

  4. Qui plus est, s’agissant de cette troisième édition de « Développer ses fichiers raws », on est bien au-delà de la simple mise à jour tant le livre a été récrit et augmenté. Même ceux qui possèdent la seconde édition trouveront un grand intérêt à cette troisième mouture…

  5. je ne dis pas le contraire sur la somme de travail et je ne dis pas que la mise à jour doit être gratuite. Simplement j’achète souvent des ouvrages papiers ou électroniques et c’est un constat que j’ai fait.
    La mise à jour pourrait être vendue à un tarif préférentiel au format électronique par ex.
    A presque 40 € l’ouvrage (et encore en métropole, ici c’est bien plus) il me paraît difficile pour un particulier d’acheter les différentes versions plein pot.
    Avec la logique actuelle on pourrait en arriver à ne plus acheter les versions 1 ou 2 des ouvrages pour attendre la version 3 plus complète. Ce qui abouti a un non sens car si la 1ère édition ne se vend pas les suivantes n’existeront probablement pas … Il ne me semble donc si farfelu d’évoquer une sorte de prime aux premiers achetants qui existe aussi dans le monde « physique » (matériel photo, voiture …) où il existe aussi des coùts incompressibles …).

    Puis il y a quelque chose où il faudrait arrêter de prendre les clients pour des pigeons. D’un côté on nous explique que le prix du papier, de l’impression, du stockage et de la distribution représentent un part importante du prix du livre, de l’autre le prix des livres électroniques est très proche alors que les coûts sont nettement moindres (même si évidemment il y en a d’autres différents). Chercher l’erreur.

    de même qu’il n’existe pas non plus chez les éditeurs d’offre couplée livre papier/livre électronique (chacun répondant à une utilisation différente).

    C’est surprenante vôtre manière de réagir à tous les deux puisque je suis client de vos productions (pour Gilles j’ai acheté le pdf « Les nouveautés de Lightroom 2.0 ») et ressemble beaucoup à celles d’artistes défendant les mastodontes des maisons de disques sans vouloir se poser de questions sur le modèle économique en place (qui n’a pas varié d’un iota malgré les évolutions des techniques et des usages).

    Ma remarque s’adressait à l’éditeur en pensant que vous pourriez lui remonter la remarque/suggestion, c’est tout, je n’ai pas dis que vous deviez travailler à l’oeil.
    Je ne prétend pas avoir raison, ni avoir la solution ultime, simplement j’exprime un point de vue de client.

    PS : et oui, désolé, mais j’ai beau habiter à 10 000km de la France, en tant que client/acheteur j’estime à avoir le droit de donner mon avis et pas uniquement celui d’ouvrir mon porte-feuille …

    Sur ce je dis et redis, que j’apprécie la qualité de vos productions respectives qu’elles soient gratuites ou payantes.

    on se détend donc dans la bonne humeur 😉

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