Questions Photo

La démarche photographique : entre le sujet et l’image

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Détailler ainsi un processus psychique qui ne dure, souvent, que quelques secondes permet une prise de conscience de la complexité de la création d’images, malgré un temps de réalisation très court.
La photographie convient bien à notre société de gens pressés. Mais n’allons pas trop loin dans ce sens car l’instant passé à chercher une idée, définir une intention avant de la réaliser effectivement fait toute la différence. N’est-il pas dommage de se contenter, comme on dit, “d’appuyer sur le bouton” quand on peut mettre en image une vision pour partager vraiment ce qui nous tient à cœur ?

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Anne-Laure Jacquart est photographe, formatrice photo et auteur de livres de pratique photographique. Elle publie ce mois-ci deux “mémophoto”, des petits dépliants de 14 pages, suffisamment légers et résistants pour être emportés partout ! Compagnons indispensables de vos prises de vue, ils portent, pour l’un, sur les réglages essentiels de l’appareil et, pour l’autre, sur les étapes de la composition.

Ces supports vous aideront :

  • à définir en temps réel votre intention (que souhaitez-vous obtenir ?) ;
  • à savoir quel réglage et/ou quel type de composition adopter à cet effet ;
  • à résoudre certains problèmes rencontrés (vos images vous semblent médiocres pour telle ou telle raison… comment y remédier ?).

Les mémophoto seront en librairie le 14 juin. Il sont d’ores et déjà disponibles en précommande sur Amazon :

Lightroom 4 : une avancée notable dans la gestion des vidéos

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Exportez vos vidéos

L’exportation se déroule de la même manière qu’avec les photos, avec les mêmes possibilités d’optimisation du flux de travail. La section Vidéo du menu Exporter permet de choisir entre trois formats : Original, H264 (avec plusieurs qualités) et DPX (Digital Picture Exchange), un format de cinéma numérique qu’on utilisera pour travailler avec des applications professionnelles de montage vidéo comme Premiere. Le panneau affiche également la taille et le nombre d’images par seconde de la source et du fichier exporté.


Les options d’exportation pour la vidéo.

Avec Lightroom 4, une nouvelle section fait son apparition dans le panneau Métadonnées. En effet, la section Vidéo permet de saisir et renseigner un grand nombre d’informations liées à la prise de vues, à l‘équipe de tournage, au projet lui-même ainsi que des informations plus techniques comme l’angle (contre-plongée, à l‘épaule, etc.) ou le mouvement (travelling, panoramique, etc.) du matériel de prise de vue.


La section vidéo du panneau Métadonnées.

Les services de publication, dans le module Bibliothèque, permettent également de configurer la diffusion de vidéos dans les services de galeries web clés en main compatibles (Flickr, Smugmug). Les options sont les mêmes que dans le menu Exporter (voir plus haut).

Enfin, le filtre de Bibliothèque et les collections dynamiques permettent de filtrer et rassembler les vidéos gérées par le catalogue.


Le service des publications prend également en charge la diffusion des vidéos.

 


Les options sont les mêmes que dans la section Vidéo du menu Exporter.

 

En conclusion

Lightroom 4 peut gérer un certain nombre de formats vidéos, dont la plupart des films enregistrés avec un smartphone, un reflex, un compact ou un appareil hybride. Le format AVCHD est également pris en charge ainsi que, d’une manière générale, les vidéos aux formats .mov, .avi et .mp4.

Pour une compatibilité maximale, pensez à installer les plus récentes versions de QuickTime, aussi bien sur PC que sur Mac (notez que, contrairement à Lightroom 3, la lecture vidéo se fait dans Lightroom 4, et non plus par l’utilitaire du système d’exploitation).

Enfin, toutes les fonctions de catalogage, y compris les copies virtuelles et la possibilité d’empiler ou de créer des collections fonctionnent avec les vidéos importées.

 

??Cet article est extrait du livre “Lightroom 4 par la pratique” pau aux éditions Eyrolles le 23 mai 2012.?

51 exercices au sommaire :

Préparer l’environnement de travail
Régler les Préférences ● Créer et gérer un catalogue ● Importer et exporter un catalogue ● Les modes d’affichage ● Les éditeurs externes ● Les modules externes ● Les piles et les copies virtuelles ● Incruster un filigrane de copyright

Maîtriser le catalogage
Le menu Importer ● Trier les images ● Les collections dynamiques ● Les collections ● Les dossiers ● Gérer les mots-clés ● Les métadonnées ● Créer un modèle de copyright ● Modifier le nom et la date des photos ● Autres méthodes d’importation d’images ● Le Filtre de bibliothèque ● Importer le catalogue de Photoshop Elements ● Le flux de travail DNG ● Le flux de travail vidéo ● Le module Cartes

Développer ses images
Convertir les images dans le Processus 2012 ● Corriger l’exposition et le contraste ● Corriger automatiquement la tonalité ● Régler la balance des blancs ● Corriger les couleurs ● Atténuer le bruit ● Accentuer la netteté ● La courbe des tonalités ● Renforcer la présence de l’image

Corriger ses images
Nettoyer les images ● Corriger les défauts de l’objectif ● Corriger la perspective ● Recadrer et redresser une image ● Le pinceau de réglage ● Le filtre gradué ● Convertir une image en noir et blanc ● Ajouter un virage partiel et des effets

Optimiser son flux de travail
Synchroniser les réglages ● Créer des paramètres prédéfinis de développement ● Un flux de travail pour photographes pressés

Diffuser ses images
Le menu Exporter ● L’épreuvage à l’écran ● Imprimer ses photos ● Créer un livre photo ● Créer un diaporama ● Le module Web ● Créer une galerie Flickr avec le service de publication ● Envoyer ses images par e-mail

 

288 pages + DVD-Rom, 26 euros, format 23 × 23
ISBN 978-2-212-13424-7
Site de l’auteur : utiliser-lightroom.com .

 

 

Lightroom 4 : enfin une vraie géocalisation des images !

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Pour conclure

Le module Cartes de Lightroom 4 faisait partie des fonctions les plus demandées par les utilisateurs. Il remplace avantageusement les plug-ins particulièrement compliqués et lourds à utiliser. Le géocodage des photos n’est pas un but en soi, il n’est pas obligatoire et il est inutile de l’appliquer à l’ensemble de vos photos. Contentez-vous de le faire sur des sujets – voyages, vacances – qui en vaillent vraiment la peine. Pour les professionnels, pouvoir géocoder ses images est une véritable valeur ajoutée dans les domaines aussi variés que la photo de voyage, de nature, d’architecture et même de mariage ou d’événements familiaux.

 

 

Cet article est extrait du livre «Lightroom 4 par la pratique» paru aux éditions Eyrolles le 23 mai. 2012

51 exercices au sommaire :

Préparer l’environnement de travail
Régler les Préférences ● Créer et gérer un catalogue ● Importer et exporter un catalogue ● Les modes d’affichage ● Les éditeurs externes ● Les modules externes ● Les piles et les copies virtuelles ● Incruster un filigrane de copyright

Maîtriser le catalogage
Le menu Importer ● Trier les images ● Les collections dynamiques ● Les collections ● Les dossiers ● Gérer les mots-clés ● Les métadonnées ● Créer un modèle de copyright ● Modifier le nom et la date des photos ● Autres méthodes d’importation d’images ● Le Filtre de bibliothèque ● Importer le catalogue de Photoshop Elements ● Le flux de travail DNG ● Le flux de travail vidéo ● Le module Cartes

Développer ses images
Convertir les images dans le Processus 2012 ● Corriger l’exposition et le contraste ● Corriger automatiquement la tonalité ● Régler la balance des blancs ● Corriger les couleurs ● Atténuer le bruit ● Accentuer la netteté ● La courbe des tonalités ● Renforcer la présence de l’image

Corriger ses images
Nettoyer les images ● Corriger les défauts de l’objectif ● Corriger la perspective ● Recadrer et redresser une image ● Le pinceau de réglage ● Le filtre gradué ● Convertir une image en noir et blanc ● Ajouter un virage partiel et des effets

Optimiser son flux de travail
Synchroniser les réglages ● Créer des paramètres prédéfinis de développement ● Un flux de travail pour photographes pressés

Diffuser ses images
Le menu Exporter ● L’épreuvage à l’écran ● Imprimer ses photos ● Créer un livre photo ● Créer un diaporama ● Le module Web ● Créer une galerie Flickr avec le service de publication ● Envoyer ses images par e-mail

 

288 pages + DVD-Rom, 26 euros, format 23 × 23
ISBN 978-2-212-13424-7
Site de l’auteur : utiliser-lightroom.com .

Asitis RoundFlash : rendu et rondeurs

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En guise de conclusion

Fabriqué en Pologne de façon quasi-artisanale, le RoundFlash est commercialisé à 139 $ (105 euros), port et TVA comprise ce qui peut sembler plutôt cher compte tenu du fait qu’il s’agit d’un simple façonneur de lumière. Heureusement, le traitement de la commande (règlement uniquement par PayPal) et la livraison sont très rapides. Le RoundFlash est un accessoire très utile pour les photographes strobistes et photographes de mariage à la recherche d’une belle lumière douce et uniforme, jusqu’ici inégalée par les produits concurrents.



Canon 580EX II + RoundFlash, mode E-TTL.

Facile à transporter, léger, universel (compatibilité avec toutes les marques de boîtiers et de flashs) et polyvalent (utilisable dans l’axe optique ou détaché de l’appareil photo), il complète favorablement un petit kit de flashs portatifs. Reste à composer avec ses inconvénients : sa grande taille ne le destine guère à la photographie de petites bêtes et l’assemblage ainsi que le désassemblage nécessitent du temps et de la patience.

Photoshop CS6 : quoi de neuf pour les photographes ?

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Photoshop CS6 bêta : Configuration requise

Windows

  • Processeur Intel® Pentium® 4 ou AMD Athlon® 64
  • Microsoft® Windows® XP ou Windows 7 avec Service Pack 1
  • 1 Go de RAM ou davantage
  • 2 Go d’espace disque disponible pour l’installation ; espace supplémentaire requis durant l’installation (le logiciel ne peut pas être installé sur des supports de stockage flash)
  • Lecteur de DVD-ROM
  • Résolution d‘écran 1 024 × 768 (1 280 × 800 recommandée) avec carte vidéo 16 bits et 256 Mo de VRAM (512 Mo recommandés)
  • L’accélération GPU requiert, pour certaines fonctions graphiques, la prise en charge de Shader Model 3.0 et d’OpenGL 2.0.
  • Shader Model 3.0
  • QuickTime requis pour les fonctionnalités multimédias
  • Connexion Internet à haut débit requise pour l’activation, l’enregistrement et l’accès aux services en ligne

Mac OS

  • Processeur Intel® multicœur
  • Mac OS X v10.6.8–10.7
  • 1 Go de RAM ou davantage
  • 2 Go d’espace disque disponible pour l’installation ; espace supplémentaire requis durant l’installation (le logiciel ne peut pas être installé sur un volume utilisant un système de fichiers sensible à la casse ou sur des supports de stockage flash)
  • Lecteur de DVD-ROM
  • Résolution d‘écran 1 024 × 768 (1 280 × 800 recommandée) avec carte vidéo 16 bits et 256 Mo de VRAM
  • L’accélération GPU requiert, pour certaines fonctions graphiques, la prise en charge de Shader Model 3.0 et d’OpenGL 2.0.
  • QuickTime requis pour les fonctionnalités multimédias
  • Connexion Internet à haut débit requise pour l’activation, l’enregistrement et l’accès aux services en ligne

Prix et disponibilité : le prix et la disponibilité de la version finale n’ont pas encore été communiquées.

Notez que la version bêta de Photoshop CS6 comprend des fonctionnalités de la future version Extended, notamment pour la vidéo et la création 3D, qui ne seront pas proposées par la version Standard de Photoshop CS6.

Téléchargement à partir du site Adobelabs.com.

Le Sony NEX-7 peut-il remplacer un reflex en longue focale ?

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Les sujets en mouvement

Un nouvel apprentissage est nécessaire pour bien photographier les sujets en mouvement rapide avec un système à viseur électronique, car il peut arriver que, si l’on déclenche en rafale, il y ait un léger retard à l’affichage dans le viseur par rapport au sujet. Après un petit temps d’accommodation, on arrive à avoir un sujet mobile dans la zone d’efficacité de l’autofocus, même si nous avons pu observer que l’appareil conserve la netteté sur le sujet – même s’il semble un peu en dehors des collimateurs AF.


Un héron en vol, 400 mm 1/1 250s f/5,6

 


Un flamand en vol, la netteté a été préservée en dehors de la zone des collimateurs, 300 mm 1/1 000s f/5,6.

En revanche, si le sujet s’approche ou s‘éloigne de l’appareil dans l’axe, il sera plus aisé de le maintenir dans une zone d’accroche de l’autofocus de l’adaptateur, et le seul regret que l’on aura pour décomposer les mouvements sera la cadence trop faible du NEX-7 par rapport aux reflex de la marque, 3 images/seconde contre 8 pour un A77 ; si ce système est parfaitement maîtrisable sur des sujets tranquilles, il connaîtra ses limites en photos de sport pour lequel le concept hybride Sony n’est pas encore vraiment optimal.


Envol de groupe, 400 mm 1/1 000s f/5,6

 


Extrait 100 % de l’image du groupe, l’autofocus s’est fixé sur un groupe d’oiseaux.

En conclusion, si la greffe d’un module autofocus alternatif est une idée de génie pour autoriser la compatibilité maximale des objectifs Sony sur les NEX, il faut rester conscient des limites du système par rapport aux reflex de la marque, et choisir avec soin ses réglages pour obtenir des images de belle qualité.


Ensemble des objectifs Sony compatibles avec les NEX grâce à l’adaptateur

 

Jean-Marie Sepulchre est l’auteur du premier ouvrage français sur le Sony NEX-7, publié sous forme d’e-book aux éditions Eyrolles fin février 2012.

Sony NEX-7 : tirer la quintessence du capteur

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Faut-il traquer les défauts invisibles ?

On peut discerner plus haut (cf les dernières photos de la page 3 de cet article), sur le crop à 100 %, de légères traces de moiré coloré sur le grillage qui protège les vitraux de la Collégiale de Vernon, mais uniquement avec le développement par Sony IDC, alors que Capture One le corrige par défaut, sans même activer la commande correction du moiré de ce logiciel.

Ce défaut ne se voit guère sur un vision de contrôle à 50 % écran mais est bien marqué sur une vision à 200 % écran. Mais à 200 %, on envisage un tirage de 2 mètres de large environ, qui serait regardé à courte distance…

Exemple d’un petit défaut à 50 % pour un fichier format A2

 

Exemple d’un petit défaut à 200 % pour un fichier format A2

Cet exemple pose le problème de la correction des défauts quasi invisibles, car il est incertain que l’on puisse voir ce moiré sur un tirage de format A2 : j’ai donc procédé, comme je le conseille dans mes ouvrages, en imprimant sur mon imprimante de contrôle (une Canon Pixma avec papier photo Canon Glossy II) l’extrait d’image de telle sorte que les détails aient la même taille que sur un tirage A2 de toute la photo, et il faut une loupe pour voir les petites traces de moiré coloré. Dans ce cas, le jeu de la correction ne vaut sans doute pas la chandelle, surtout si on envisage de tirer seulement en format A3 voire même de ne présenter ses photos qu’en diaporama sur le Web !

Du bon usage de la haute définition

Au moment où les petits compacts à 100 euros proposent des capteurs de plus 12 Mpix, les photographes qui voient que les progrès technologiques les plus manifestes ne s’appliquent désormais qu‘à des modèles experts de plus de 16 Mpix, voire à des 24 × 36 de 36 Mpix, peuvent être pris de vertige. Les tests les plus poussés, ceux qui mesurent la qualité optique pour un tirage de qualité photo maximale en fonction de la définition du capteur (comme ici en A2 pour un 24 Mpix) servent à hiérarchiser les objectifs. Mais il faut aussi renseigner l’amateur qui s’inquiète d’avoir autant de pixels à sa disposition, d’où la nécessité de se demander si une qualité raisonnable peut être obtenue dans un format d’agrandissement plus courant. Non seulement les mesures mais aussi les tests de terrain montrent qu’avec un fichier RAW c’est très facile de doser le piqué, la réduction du bruit et la taille du tirage pour obtenir un agrandissement flatteur de taille inférieure si jamais on rencontre des limites d‘éclairage ou d’objectif pour tirer la quintessence du capteur. C’est pourquoi j’intègre désormais dans mes essais d’appareils de haute définition un “joker”, qui est la note de qualité en format A3 des optiques qui sont manifestement en deçà des attentes pour le format maximal de l’appareil !

 

 

Yongnuo RF-603 : petit prix et petits défauts

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Ou acheter ?

Si vous achetez le RF-603 directement via le magasin en ligne du fabricant, vous bénéficiez sans doute du meilleur prix. Cependant, l’attente sera plus longue (deux semaines environ) et en cas de produit défectueux, il vous faudra le retourner directement en Chine pour obtenir un exemplaire de rechange. Pour ma part, j’ai préféré payer un peu plus cher pour éviter d’une part d’éventuels problèmes de douane et pour privilégier d’autre part les rapports commerciaux avec des revendeurs européens. Les produits Yongnuo se trouvent par exemple chez Enjoyyourcamera.com. Un ensemble de base revient alors à 50 euros ttc et un déclencheur supplémentaire à 30 euros ttc.

Lightroom 4 : les nouveaux outils de correction des tons

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En résumé

Vous pouvez constater que les possibilités sont infinies, grâce à la capacité des algorithmes de Lightroom de bien discerner les différents niveaux de luminosité d’une image, et d’agir là où on lui demande, sans influence sur le reste de la photo. Toutes les opérations ci-dessus ont demandé à peine quelques dizaines de seconde de travail.

Retenez ces notions essentielles :

  • utilisez le curseur exposition en premier, pour que l’exposition de l’image soit globalement correcte et ne demande plus que quelques ajustements par la suite ;
  • travaillez toujours du haut vers le bas, et tâchez d’utiliser les curseurs par paires ;
  • la tolérance de correction d’exposition est dorénavant de +/-5 diaphragmes ;
  • les nouveaux algorithmes évitent les dérives de couleurs dans les hautes lumières et une montée trop rapide du bruit de couleur dans les ombres ;
  • oubliez complètement les méthodes utilisées dans les versions précédentes de Lightroom.

Enfin, sachez que Lightroom 4 vous permet d’aller encore plus loin dans la correction de la tonalité avec la retouche locale, qui tient compte des nouveaux outils, et avec la courbe qui permet dorénavant de travailler séparément sur les couches RVB.

 

Gilles Theophile est l’auteur de “Lightroom 3 par la pratique”, paru aux éditions Eyrolles fin 2010. Son nouvel opus, “Lightroom 4 par la pratique”, complètement refondu et très augmenté, sera disponible en librairie au deuxième trimestre 2012. Pour vous tenir informé, n’hésitez pas à consulter le site des éditions Eyrolles, le site de Gilles Theophile Utiliser Lightroom et QuestionsPhoto.

 

 

Lightroom 4 bêta : les nouveautés

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Configuration minimale

  • Mac : processeur multiple-coeur Intel avec support 64 bits, Mac OS X v10.6.8 (Snow Leopard) ou v10.7 (Lion), 2 Go de mémoire RAM, 1 Go d’espace disque, résolution d‘écran 1024×768, lecteur DVD-ROM et connexion Internet.
  • Windows : processeur Intel Pentium 4 ou AMD Athlon 64, Windows Vista avec Service Pack 2 ou Windows 7 avec Service Pack 1, , 2 Go de mémoire RAM, 1 Go d’espace disque, résolution d‘écran 1024×768, lecteur DVD-ROM et connexion Internet.

Vous pouvez télécharger Lightroom 4 bêta sur cette page.

Pour lire une description encore plus exhaustive des nouvelles fonctionnalités de Lightroom 4 bêta, rendez-vous sur le blog de Gilles Théophile, auteur, rédacteur et animateur du site Utiliser-Lightroom.com. Sur le site Alphanumérique.fr, vous trouverez une vidéo fort bien faite de Patrick Moll

Le magazine Eyrolles
des techniques photo

Animé par Volker Gilbert et publié par les éditions Eyrolles, QuestionsPhoto vous propose des articles de fond sur les techniques photo, mais aussi des actus, des critiques de livres... et des réponses à toutes vos questions !