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Vivre de ses photos

Amyot Photographe Vivre de ses photos

Quels sont les enjeux du métier ?

Ils sont importants et riches de conséquences. Un certain nombre de « nouveaux » photographes se lancent dans la photo suite à une première carrière qui leur a fourni des satisfactions souvent plus financières que valorisantes. L’envie d’une reconversion survient à un moment où leur travail n’apporte plus le contentement, ni même le plaisir d’accomplir et/ou d’obtenir des résultats.

À cette étape de leur vie, les responsabilités familiales, sociales, etc., rendent la prise de risque délicate et leur imposent de bien mesurer l’aventure qui s’annonce. Certains pourraient être rebutés par les défis et aléas du métier, et pourtant la plupart se jettent dans le bain, fort de leurs expériences.

Là où cela se complique souvent, pour ne rien vous cacher, c’est avec les personnes qui envisagent une carrière purement artistique. En effet, rares sont ceux qui peuvent prétendre vivre uniquement de la vente de leurs tirages, surtout au démarrage de leur activité. Pour vivre de la photographie, développer un volet affaires, qui inclut une concentration marketing, est alors quasiment indispensable.

De même qu’avec ce photographe qui préfère proposer des images pour satisfaire son égo créatif sans tenir compte des besoins de son client. Étant de nos jours plus informé, le client n’acceptera pas d’investir dans une prestation qui ne répond pas à ses attentes – qu’il s’agisse de photographie ou de tout autre produit – et de traiter avec un « partenaire » qui ne respecte pas le jeu de la relation client. Il est donc illusoire de croire que la vente se fera toute seule. Il est fort possible qu’il y ait même conflit entre les deux parties à cause du manque de perception de valeur et de compréhension. Il s’en suit un manque de respect de part et d’autre, et la profession finit par en souffrir.

Quels sont donc les enjeux du métier ?

  • Développer une activité saine et épanouissante, sans le stress ni l’angoisse des fins de mois dans le rouge.
  • Obtenir une qualité de vie à la hauteur de ses souhaits et ambitions.
  • Bénéficier d’une vie familiale équilibrée, propice au développement de projets personnels (pour soi, son conjoint, ses enfants).
  • Générer un salaire régulier assurant le niveau de vie de la famille et le développement de projets (voir points précédents).
  • Pouvoir se former pour rester un professionnel efficace et pertinent sur son marché.
  • Pouvoir s’autoriser des vacances sans culpabiliser à l’idée de perdre des contrats.

Et la liste s’allonge… Vous voyez certainement où je veux en venir.

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Amyot Vivre de ses photosCet article est extrait de Vivre de ses photos – Et si le marketing était la clé ?, actuellement en librairie, dans la collection « Photographe PRO » (ISBN : 978-2-212-13652-4).

André Amyot a exercé en tant que photographe professionnel pendant plus de 35 années, durant lesquelles il a monté l’un des studios les plus prospères du Canada. Il poursuit aujourd’hui une carrière de coach et d’auteur, en France et au Canada, afin de guider et d’accompagner les photographes dans le lancement et l’évolution de leur activité.

Camera Raw 7.4 et Lightroom 4.4 : sortie des versions finales

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Adobe vient de publier les versions finales de Camera Raw 7.4, Lightroom 4.4 et Adobe DNG Converter 7.4. Par rapport aux versions préliminaires, sorties il y a un peu plus d’un mois, les versions finales bénéficient de nombreuses améliorations, à commencer par la prise en charge de 16 formats RAW supplémentaires, portant le nombre de nouveaux formats à pas moins de 25. : Canon EOS 1D C, 100D et 700D, Casio Exilim EX-ZR700,  EX-ZR710 et EX-ZR750, Fujifilm FinePix F900EXR, HS50EXR et SL1000, Fujifilm X100s et X20, Hasselblad H5D-40, H5D-50 et Lunar, LEICA M (Typ 240), Nikon 1 J3, 1 S1,  D710,  Coolpix A et  P330, Olympus XZ-10, Pentax MX-1, Samsung NX300, Sony Alpha NEX-3N e et SLT-A58.

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Google Nik Collection : une offre alléchante et un cadeau pour les clients enregistrés

Google-Nik

Goggle vient d’annoncer la « Nik Collection by Google », comprenant l’ensemble des plug-ins Nik (Dfine 2.0, Viveza 2, HDR Efex Pro 2, Color Efex Pro 4 Complete Edition, Silver Efex Pro 2, et Sharpener Pro 3.0) dans un seul fichier d’installation. Et ce n’est pas tout, puisque l’éditeur annonce également un tarif particulièrement alléchant pour cet ensemble de plug-ins, compatible à la fois avec Photoshop, Photoshop Elements, Aperture et Lightroom : 149 dollars alors que la « Complete Edition » de Nik Software  était commercialisé à un tarif trois fois plus élevé.
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Photoshop CS6 et le RAW par la pratique : ajuster localement la balance des blancs

L'image image rétablit l'équilibre des couleurs.

Étape 5

Modifiez les paramètres Exposition (+0,20), Contraste (+11), « Tons foncés » (+16) et Clarté (+12) de l’outil « Pinceau de retouche » (mode Ajouter), puis passez à l’outil « Filtre gradué » (G) pour finaliser l’image : deux effets de dégradé, partant respectivement des bords supérieurs et inférieurs de l’image, aident à mieux différencier les différents éléments composant ce paysage presque minimaliste. Pour les paramètres des dégradés, reportez-vous à la figure ci-dessous.

L’image finale rétablit l’équilibre des couleurs au premier plan sans pour autant réchauffer les couleurs des parties ensoleillées.

 

Pour reproduire cet exercice sur votre ordinateur, téléchargez le fichier Original_42.dng, décompressez-le puis ouvrez-le dans Photoshop CS6 ou Lightroom 4. Les étapes y sont inscrites sous forme d’instantanés.

L’article présent est extrait de l’ouvrage Photoshop CS6 et le RAW par la pratique, de Volker Gilbert, paru aux éditions Eyrolles en mars 2013 (26 € TTC – 256 pages en couleurs – 21 x 23). © Groupe Eyrolles 2013. ISBN 978-2-212-13646-3

 

 

Nikon D600, le coût du changement et des objectifs

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Chercher la bonne occasion

Le marché de l’occasion est un des moyens d’éviter de payer le prix fort lors du passage du DX vers le FX, mais attention aux désillusions : nous ne conseillons pas la plupart des anciens zooms autofocus AF ou AFD, et surtout pas les zooms grands-angles 18-35 et 24-50 mm, même si le 28-105 mm peut encore dépanner et que le 80-200 mm f/2,8 fournit toujours un piqué honorable. Les anciens 70-210 mm et surtout 75-300 mm, que l’on trouve bradés en occasion, le sont tout simplement parce que leur piqué ne peut plus donner satisfaction sur un capteur de 24 Mpix. Du côté des fixes, attentions aux très grands-angles 14 et 18 mm clairement dépassés, mais les focales moyennes de 85, 105 ou 135 mm et les Micro-Nikkor sont encore tout à fait recommandables.

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En conclusion

Pour un usage basique et familial, le passage au format 24 × 36 est un saut financier très important. À définition égale de 24 Mpix, le kit du nouveau D7100 est proposé  à 1 349 € avec le 18-105 mm contre 2 499 € pour le D600 + 24-85 mm. En zooms téléobjectifs, il n’existe pas d’offre d’entrée de gamme en 24 × 36, ni d’offre expert ou pro en DX, d’où là aussi un écart de prix en défaveur du format DX. En revanche, la différence est moins importante en zooms grands-angles et inexistante en gamme pro et en focales fixes ultra-lumineuses, dans la mesure où il n’existe pas de gamme pro en DX Nikon – pour accéder à ces focales fixes sur un petit boîtier on est obligé d’acheter des objectifs FX qui resserviront évidemment en cas de passage du boîtier au format FX.

Pour rendre la transition moins douloureuse, on peut s’adresser aux marques compatibles et au marché de l’occasion, mais attention à ne pas choisir de modèle qui était réputé il y a 20 ans mais qui est aujourd’hui dépassé par la définition du capteur : un film argentique a la capacité de séparer les détails fins comme un 8 Mpix numérique… trois fois moins de résolution optique qu’un D600 en fait. Aucun des modèles qui était déconseillé dans notre livre de tests sur le D700 (12 Mpix) n’est repris dans celui du D600, pour cause de qualité désormais insuffisante. Ceux qui y figurent doivent faire l’objet d’un examen sur leur bon état avant achat, et de ce point de vue les boutiques peuvent être plus rassurantes que les annonces sur le Web.

 

8 conseils pour se lancer dans la photo de rue

D Free-runners – Londres, Royaume-Uni. Canon EOS 350D, objectif 10-22 mm f/3,5-4,5

Utilisez les éléments urbains

La rue n’est pas une toile vierge. De nombreux éléments composent notre environnement, et ces éléments peuvent être vus comme des « accessoires ». Leur utilisation peut faire sortir une image du lot et accentuer certains détails de la scène, voire tenir un rôle plus important que les sujets concernés. Si vous les utilisez bien, ces éléments peuvent jouer à votre avantage. Il suffit d’un œil exercé pour les repérer.

Espoir – Mumbai, Inde
Cette photo a été prise devant Mahim Station à Mumbai, ciblée quelques semaines plus tôt par des attentats terroristes qui ont fait beaucoup de morts. J’ai utilisé un compact numérique (HP Photosmart R707) avec le flash désactivé pour capturer cette femme qui marchait devant un panneau affichant le mot « hope » (espoir). La route est très passante, ce qui se manifeste par les traînées de lumière. Pour moi, le flou donne une qualité surréaliste à une scène symbolique et significative. Voilà comment on peut utiliser des imperfections à son avantage.

Jouez avec les contrastes et les ressemblances

Les contrastes saisissants et les similitudes étranges ressortiront toujours d’une image, car ils nous font méditer, réfléchir et sourire. Ouvrez les yeux sur votre environnement et vous commencerez à remarquer des scènes remplies de contrastes et de contradictions. Les contrastes peuvent être visuels comme métaphoriques. Voici les plus évidents que vous serez amené à observer : lumière contre obscurité, grand contre petit, riche contre pauvre.

Homme lisant le journal – Mumbai, Inde
Canon EOS 350D, objectif 24-70 mm f/2,8
Bien que l’on ne voie pas le visage de cet homme, on comprend qu’il est plongé dans son journal.

N’oubliez pas les scènes sans humains

Une photo ne doit pas nécessairement comporter des humains pour être une photo de rue. Vous capturez la vie humaine, et les traces de cette vie sont tout autour de nous, même si les gens sont partis depuis belle lurette. L’environnement urbain dans lequel nous vivons produit de nombreux détails qui représentent des signes d’interaction et d’existence humaines, comme les objets abandonnés ou perdus.

Apprenez à repérer les détails

Faites toujours attention aux plus petits détails – ceux qui ne sont pas apparents au premier abord, mais qui après une inspection poussée révèlent des éléments intéressants, dignes d’un instant décisif. Pour repérer ces détails, vous allez devoir ouvrir encore plus grand vos yeux et vous focaliser sur votre environnement. Concentrez-vous sur la vue d’ensemble pour apprécier les instants que les gens ne prennent pas le temps d’observer. Cela vous distinguera de ceux qui se contentent de prendre des instantanés.

Marathon – Londres, Royaume-Uni
Canon EOS 350D, objectif 18-55 mm f/3,5-5,6
Au marathon de Londres, je ne voyais que des gens qui couraient en ligne ; rien de bien captivant… Je suis montée sur un pont et j’ai regardé en contrebas. Rien n’était spécialement digne d’intérêt, jusqu’à ce qu’un homme commence à s’étirer contre le mur. Soudain, la scène avait de l’attrait. Cela n’a duré qu’une seconde ou deux.

 

Texte et images extraits du livre de Tanya Nagar, Street Photo, Manuel des photographes urbains, paru aux éditions Eyrolles, 176 p., 14,90 €, ISBN 978-2-212-13598-5

Photoshop CS6 et le RAW par la pratique : comprendre les courbes

Canon 5D Mk II, 285 mm, f/8, 1/350 s, 500 ISO © Volker Gilbert

Étape 7

Désormais, l’« Éditeur de courbe à points » permet d’ajuster individuellement chacune des couches rouge, vert et bleu, pour peu que vous ayez préalablement converti les paramètres de développement de l’image au Processus 2012.

On pourrait s’interroger sur l’utilité des courbes RVB, étant donné la puissance des outils des panneaux TSL et Virage partiel. Cependant, elles sont tout à fait utiles pour corriger des couleurs ou créer des effets spéciaux (traitements croisés, virages, etc.). Ouvrez l’image Original_20b.dng, puis passez dans le volet « De points » du panneau « Courbe des tonalités ». Sélectionnez le menu Couche pour afficher les courbes correspondant aux couches rouge et bleu et destinées à rendre le reflet du ciel plus violet et la couleur de la rivière plus vive.

Étape 8

Le traitement croisé a été très apprécié des photographes de mode dans les années 1980. Il consistait à traiter un film inversible dans une chimie qui ne lui était pas destinée pour obtenir des rendus caractéristiques, contrastés et aux couleurs à la fois étranges et saturées. Grâce aux courbes RVB, vous pouvez simuler un rendu semblable.

Ouvrez l’image Original_20c.dng et appliquez dans l’« Éditeur de courbe à points » une courbe en S  pour augmenter le contraste de l’image. Passez ensuite aux couches individuelles pour appliquer une courbe en S dans les couches vert et rouge (plus prononcée pour cette dernière) et une courbe en S inversé dans la couche bleue, n’affectant que la moitié gauche du tracé : pour ce faire placez trois points d’ancrage sur la courbe, le premier dans les quarts de tons et les deux autres au milieu et dans les trois quarts de tons pour verrouiller la moitié droite de la courbe. Déplacez ensuite le premier point vers le haut.

 

Astuce : vous trouverez sur le DVD d’accompagnement de l’ouvrage un grand nombre de paramètres prédéfinis de développement et notamment trois paramètres permettant de faire revivre le traitement croisé d’antan. Pour des résultats encore plus typiques, n’hésitez pas à colorer les hautes lumières et tons foncés (outil « Virage partiel ») et/ou à amplifier le contraste global et local (curseurs Contraste et Clarté du panneau « Réglages de base »). De même, il est souvent intéressant d’ajouter une texture granuleuse et/ou un effet de vignetage (outils du panneau Effets).

 

Pour reproduire cet exercice sur votre ordinateur, téléchargez les fichiers Original_20a.tif, Original_20b.dng et Original_20c.dng ,décompressez-les,  puis ouvrez-les dans Photoshop CS6 ou Lightroom 4. Les étapes y sont inscrites sous forme d’instantanés.

Cet article est extrait de l’ouvrage Photoshop CS6 et le RAW par la pratique, de Volker Gilbert, paru aux éditions Eyrolles en mars 2013 (26 € TTC – 256 pages en couleurs – 21 x 23). © Groupe Eyrolles 2013. ISBN 978-2-212-13646-3

Photoshop CS6 et le RAW par la pratique : attribuer des notes et étiquettes dans Bridge

Canon 5D Mk II, 400 mm, f/10, 1/500 s, 100 ISO © Volker Gilbert

Étape 7

Dédiez les étiquettes au classement des images selon leur destination (Web, fusion HDR, conversion CMJN, retouches dans Photoshop, etc.) ou l’avancement du travail (image pas encore notée ou légendée, images à supprimer, etc.).

Si vous utilisez plusieurs logiciels d’images, synchronisez l’attribution des étiquettes. Lightroom permet d’adopter les réglages de Bridge (Métadonnées>Ensemble des libellés de couleur>Valeur par défaut de Bridge), mais il fait appel à des intitulés différents. Dans Lightroom, choisissez l’option Modifier pour synchroniser les paramètres des deux logiciels : tapez le titre de chaque libellé de couleur dans le champ correspondant et enregistrez les paramètres sous un nouveau nom.

Étape 8

Pour appliquer une étiquette, utilisez le raccourci qui lui est attribué. Il est également possible de sélectionner une ou plusieurs images avant de choisir l’étiquette désirée, à partir du menu Étiquette ou du menu contextuel de la fenêtre Aperçu. Une fois l’étiquette appliquée, sa couleur s’affiche parmi les informations de la fenêtre Contenu et vous pouvez filtrer les images en fonction de leur étiquette dans le volet Filtre.

Notez que la couleur blanche désigne une étiquette dont l’intitulé ne correspond pas aux réglages actuels de Bridge ou qui est manquant.

Remarque : reconnues par la plupart des logiciels d’images, les notes sont indispensables pour classer ses images. Mais encore faut-il établir un système de notation cohérent et pérenne. Il existe plusieurs manières de classer rapidement les images d’un dossier :

  • effectuer plusieurs passages successifs pour attribuer une, deux, puis trois étoiles aux images. Les critères du volet Filtre aident à n’afficher que les images pas encore notées (aucune note, une étoile, deux étoiles, etc.) ;
  • adopter un système binaire qui n’utilise que deux notes, d’une ou de deux étoiles. Baissez (Ctrl/Cmd + Maj + E) ou augmentez le classement (Ctrl/Cmd + E) en réservant la note maximale aux meilleures images ;
  • utiliser un système basé sur trois niveaux : après avoir attribué une, deux ou trois étoiles aux images rejetées, neutres ou retenues, affinez le classement des images « neutres » en baissant ou en augmentant leur note ;
  • travailler avec un système basé sur une unique séance de notation pendant laquelle vous attribuerez directement des notes entre une et quatre étoiles. Le mode d’affichage Vérification (Ctrl/Cmd + B) se prête particulièrement bien à l’affichage simultané et la comparaison de plusieurs images.

Gardez toujours à l’esprit que l’évaluation et le classement des images sont des étapes décisives, puisqu’elles déterminent quelles images bénéficieront de la suite des traitements constituant votre flux de production photographique. Retardez dans la mesure du possible la notation finale pour tendre à plus d’objectivité vis-à-vis de vos images. Il est souvent utile de les passer en revue une seconde fois, à tête reposée, pour entériner vos choix ou pour dénicher d’éventuels « joyaux cachés ».

Cet article est extrait de l’ouvrage Photoshop CS6 et le RAW par la pratique, de Volker Gilbert, paru aux éditions Eyrolles en mars 2013 (26 € TTC – 256 pages en couleurs – 21 x 23). © Groupe Eyrolles 2013. ISBN 978-2-212-13646-3

 

Camera Raw 7.4 et Lightroom 4.4 : sortie des versions bêta publiques

Le site Adobelabs vient de publier des versions préliminaires de Camera Raw 7.4, Lightroom 4.4 et Adobe DNG Converter 7.4. Les nouvelles versions, baptisées RC, offrent la prise en charge des formas RAW des appareils suivants : Canon EOS 1DC, Casio Exilim EX-ZR700, Fujifilm X100s et Fujifilm X20, Hasselblad Lunar, Leica M, Nikon 1 V3, Nikon 1 S1 et Pentax MX-1.

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Le magazine Eyrolles
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