Questions Photo

Photoshop CS6 et le RAW par la pratique : attribuer des notes et étiquettes dans Bridge

Canon 5D Mk II, 400 mm, f/10, 1/500 s, 100 ISO © Volker Gilbert

Étape 5

Il existe plusieurs manières d’attribuer une note aux images. La méthode la plus simple consiste à cliquer sur un des cinq points situés à droite (en mode Détails) ou en dessous (en mode Vignettes) de chacune des images affichées dans la fenêtre Contenu. Il est également possible de passer par le menu Étiquette ou le menu contextuel de la fenêtre Aperçu.

Pour appliquer une même note à plusieurs images, sélectionnez-les dans le volet Contenu, puis optez pour une des méthodes présentées plus haut. Pour supprimer une note, cliquez à gauche des étoiles ou sélectionnez l’option « Aucune note » à partir du menu contextuel ou du menu Étiquette.

Étape 6

Vous pouvez aussi noter vos images dans la fenêtre de Camera Raw. Sélectionnez toutes les images (Ctrl/Cmd + A) et ouvrez-les dans Camera Raw (Ctrl/Cmd + R). Servez-vous des flèches droite et gauche pour parcourir les images du Film fixe, puis des raccourcis clavier afférents pour leur accorder une note comprise entre zéro et cinq étoiles. Les touches Alt + Suppr attribuent une note négative (Refuser) aux images rejetées. Pour appliquer les modifications et revenir dans Bridge, cliquez sur « Tout sélectionner », puis sur Terminer.

Adobe Camera Raw : le plug-in fête son dixième anniversaire

L'interface de Camera Raw 1.0, plug-in payant pour Photoshop 7, était encore très rudimentaire. Alors qu'il proposait déjà deux curseurs pour l'ajustement de la balance des blancs, Température et Teinte, il n'y avait que quatre curseurs pour ajuster la tonalité des images et un seul pour réduire ou augmenter la saturation des couleurs. Notez tout de même la présence d'un filtre anti-moiré.

Chez Adobe, le 19 février est une date hautement symbolique puisqu’elle marque la naissance de trois logiciels emblématiques, Photoshop, Camera Raw et Lightroom. Ainsi, Photoshop est né le 19 février 1990, Camera Raw, le 19 février 2003, et Lightroom le 19 février 2007. Voici, avec quelques jours de retard, quelques infos sur la fulgurante carrière de Camera Raw.

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Photographie de concert : la composition

Nikon D700, 35 mm f/2,8 à 100 mm (3 200 ISO, 1/160 s à f/2,8).

Guitaristes et bassistes

Pour ce cliché de l’ahurissant bassiste Les Claypool, j’ai bien fait attention d’inclure à la vue tout l’instrument. Vous êtes ainsi presque forcé de composer selon la règle des tiers, ce qui donne normalement des photos plus intéressantes. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 52 mm (2 500 ISO, 1/125 s à f/2,8, mesure Spot).

Dans la majorité des groupes, il y a au moins un guitariste et un bassiste. Par conséquent, vous aurez donc beaucoup plus de photos avec des guitares que sans ! Pour les photos de guitariste et de bassiste, privilégiez des plans américains (cadrés horizontalement) ou en pied (cadrés verticalement).

Cliché de Buzz Campbell avec sa guitare. Le musicien est sponsorisé par les guitares Gretsch et cette image fait partie d’une série réalisée à des fins publicitaires. J’ai donc fermé le diaphragme pour être sûr que la tête de guitare et le guitariste soient nets. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 35 mm f/1,8 (200 ISO, 1/100 s à f/5, mesure Matricielle).

Les photos en pied vous permettront de saisir les guitaristes au  plus fort de leur jeu, moment qui donne souvent les meilleurs clichés. Utilisez normalement une focale relativement grand-angle. Un ultra grand — angle produira également un très bel effet, si vous pouvez vous tenir assez près pour profiter de la distorsion de perspective.

Cliché en pied de Zakk Wylde, chanteur de Black Label Society, alors qu’il attaquait un solo. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 70 mm (1 000 ISO, 1/400 s à f/10, mesure Matricielle).

L’erreur de composition que je vois le plus fréquemment est de couper la tête de la guitare, alors que c’est une partie importante de l’instrument. Autant que possible, faites-la entrer dans la composition de vos clichés. La tronquer reviendrait à couper les bras ou les jambes dans un portrait… Pour varier vos images, n’oubliez pas de choisir des angles de prise de vue différents ou inhabituels.

Lorsque vous photographiez de côté, le plus dur avec les guitaristes est de réussir à obtenir la mise au point sur toute la guitare, en raison de la grande ouverture normalement nécessaire. Si vous avez assez de lumière, essayez de fermer un peu le diaphragme. Sinon, vous pouvez changer d’angle de prise de vue en photographiant davantage de face pour réduire le problème de la profondeur de champ.

Certains groupes, de rockabilly, de country classique ou de bluegrass par exemple, intègrent une contrebasse dans leur formation. Bien que cet instrument soit vraiment volumineux, il est assez facile à photographier, car le contrebassiste joue en le gardant généralement assez près du corps.

J’ai réalisé ce cliché de l’un des guitaristes de P-Funk juste au moment où il était au plus fort de son solo. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 (3 200 ISO, 1/160 s à f/2,8, mesure Spot).

Les contrebassistes sont assez faciles à photographier ; ici, Jimbo du groupe Reverend Horton Heat. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 28-70 mm f/2,8 à 50 mm (1 500 ISO, 1/200 s à f/2,8, mesure Spot).

Il vous arrivera peut-être d’avoir affaire à ce type de contrebassiste déjanté. Lorsque vous effectuez des clichés de pareils musiciens, vous devez parfois improviser, comme ici avec Lee Rocker, ancien membre des Stray Cats. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 50 mm f/1,4 (200 ISO, 1/50 s à f/1,4, mesure Spot).

Cathy Guthrie, la petite-fille de Woodie Guthrie, joue ici du ukulélé avec le groupe Folk Uke. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 80-200 mm f/2,8 à 155 mm (200 ISO, 1/2 000 s à f/2,8, mesure Matricielle).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cet article est extrait de l’ouvrage Photographie de concert-Guide pratique, de J.Dennis Thomas, paru aux éditions Eyrolles en décembre 2012 (19,90 € TTC – 200 pages en couleurs – 14 x 22). © Groupe Eyrolles 2013. ISBN 978-2-212-13625-8

Résultats du concours Eyrolles et Blurb

Respectivement, de gauche à droite, les gagnants du 1er, 2ème et 3ème prix

Le jeu concours « Créez vos livres photo avec Lightroom et des cartes cadeaux Blurb » est terminé depuis ce midi, merci à tous les participants !

Sans plus attendre, voici les 3 gagnants :

  • 1er prix : Seb M.  remporte le livre  « Créez vos livres photo avec Lightroom » ainsi qu’un crédit de 150€ à utiliser sur le site de notre partenaire Blurb.fr, de quoi concrétiser son beau projet de livre !
  • 2ème et 3ème prix : Grégorie Brossard, grâce à son commentaire Facebook,  et @gauriaud grâce à son Tweet. Ils remportent chacun un exemplaire du livre ainsi que 75€ de crédit à utiliser sur le site de notre partenaires Blurb.fr.

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Photographie de concert : l’exposition

L’éclairage de concert s’étend normalement sur une plage dynamique extrême, allant des ombres noir foncé aux hautes lumières brûlées, comme sur ce cliché
du guitariste Ryan Hahn des Local Natives. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon Nikkor 28-70 mm f/2,8D à 50 mm (220 ISO, 1/125 s à f/2,8, mesure Spot à -0,3 IL).

L’ouverture (du diaphragme)

Lorsque l’on parle « d’ouverture » ou de « valeur d’ouverture », on fait référence à l’ouverture du diaphragme de l’objectif. Tous les objectifs sont dotés d’un diaphragme qui fonctionne exactement comme l’iris de l’oeil : il s’ouvre en grand pour laisser passer le maximum de lumière et se referme pour réduire la quantité de lumière pénétrant par l’objectif. En photo, on utilise donc le terme « ouvrir » pour signifier que l’on ouvre le diaphragme, et « fermer » pour dire l’inverse.Si vous désirez donner du mouvement à votre image pour signifier une impression d’action, il faut dans ce cas sélectionner une vitesse d’obturation plus lente . L’idée ici n’est pas de rendre l’ensemble flou, mais bien de mettre en valeur un aspect de la scène . Par exemple, l’un des effets les plus fréquemment recherchés en photo de concert est celui du guitariste relativement immobile dont la main gratte les cordes de son instrument . Le résultat obtenu est une image nette du guitariste dont la main rendue floue confère un sentiment de mouve ment et d’action .

Une ouverture dite « moyenne » se situe entre 5,6 et 8

Écriture des valeurs

Les ouvertures sont indiquées par des valeurs notées « f/ ». Plus le nombre est petit (par exemple, f/2), plus l’ouverture est grande. Inversement, plus le nombre est grand (par exemple, f/16), plus l’ouverture est petite. Cette formulation peut prêter à confusion pour celui qui débute en photo. Ces valeurs sont en réalité des rapports, indiqués par des fractions. Elles se déterminent en divisant le diamètre de l’ouverture de l’objectif par la focale de l’objectif. Le moyen le plus simple de l’imaginer est de mettre un « 1 » au-dessus de la valeur f/ et d’en faire une fraction (voir encadré ci-dessous). Les valeurs f/ sont normalisées : f/1,4 > f/2 > f/2,8 > f/4 > f/5,6 > f/8 > f/11 > f/16 > f/22. À première vue, elles semblent être distribuées de manière aléatoire. Mais, en y regardant de plus près, vous vous apercevrez qu’une valeur d’ouverture trouve son multiple deux nombres plus loin, et que chaque valeur est en réalité multipliée par 1,4 : 1,4 × 1,4 = 1,96 (arrondi à 2), 2,8 × 1,4 = 3,92 (arrondi à 4), 4 × 1,4 = 5,6, et ainsi de suite.

Pour mieux comprendre : Si vous photographiez avec un objectif Zeiss 50 mm avec une ouverture de f/2, transformez f/2 en fraction avec « 1 » comme numérateur. La valeur obtenue est alors 1/2. Cela signifie que l’ouverture du diaphragme a un diamètre correspondant à la moitié de la longueur focale de l’objectif, dans ce cas 25 mm. On voit alors que 1/2 ou f/2 est bien supérieure à 1/16 ou f/16. C’est pourquoi, les petites valeurs correspondent à de grandes ouvertures, et inversement.

Incidence sur la profondeur de champ

Ce cliché de la batteuse Etsuko Nakanishi, du groupe Shonen Knife, a une très faible profondeur de champ ; remarquez le flou indistinct de l’arrière- plan. Photo prise avec un Nikon D300s équipé d’un objectif Nikon 80-200 mm f/2,8D à 135 mm, équivalent à 202 mm (200 ISO, 1/250 s à f/4,5, mesure Spot).

En photo, les grandes ouvertures ne laissent pas seulement entrer plus de lumière (voir ci-contre), elles réduisent aussi la profondeur de champ, floutant ainsi les détails à l’arrière-plan. À l’inverse, les petites ouvertures augmentent la profondeur de champ, faisant apparaître l’arrière-plan net. Techniquement, la profondeur de champ est la plage de distance dans une photo dans laquelle toutes les parties sont d’une netteté acceptable. En focalisant l’objectif sur un certain point (appelé « point focalisé »), tout ce qui se trouve sur le même plan paraît également net. En revanche, tout ce qui se situe devant et derrière n’est techniquement pas mis au point, mais notre vision n’est pas assez fine pour percevoir le faible flou qui se produit et qui paraîtra net à nos yeux. C’est ce que les photographes appellent la « profondeur de champ » ou bien encore la « zone de netteté acceptable ». En photo de concert, dans la grande majorité des cas, vous déclencherez tout ouvert, c’est-à-dire que vous photographierez à pleine ouverture ; il existe deux raisons à cela :

  • les lieux de concert sont généralement plutôt sombres et vous aurez donc besoin de toute la lumière disponible ;
  • la faible profondeur de champ permet de flouter certains détails gênants qui peuvent se trouver derrière le sujet principal, à l’arrière-plan.

Conseil : Même pour un concert en plein jour avec beaucoup de lumière, ouvrez au maximum pour bénéficier de la faible profondeur de champ. Cela isole l’artiste en le faisant ressortir sur l’arrière-plan, et confère une touche artistique à votre image.

Cette photo de Tesla au grand-angle a une vaste profondeur de champ : tout, du premier plan jusqu’à l’arrière-plan, est net. Photo prise avec un Nikon D700 équipé d’un objectif Nikon 14-24 mm f/2,8G à 14 mm (2 000 ISO, 1/200 s à f/2,8, mesure Spot).

La profondeur de champ est également fonction de la distance du sujet. Plus vous êtes près, plus elle sera faible pour une ouverture donnée. Par exemple, si vous effectuez la mise au point sur une personne se trouvant à 3,5 m avec un diaphragme ouvert à f/16, vous obtenez une photo totalement nette. À même ouverture, si elle se trouve à 30 cm, la profondeur de champ sera faible ; une partie de l’image sera donc floue. Par ailleurs, la profondeur de champ varie selon la focale utilisée. Les focales plus courtes créent une profondeur de champ plus importante à la même distance de mise au point que les focales plus longues.

Profondeur de champ et cercle de confusion : la profondeur de champ est déterminée par le concept de « cercle de confusion », à savoir le plus grand cercle flou qui paraît d’une netteté acceptable à l’oeil humain. Les facteurs qui contribuent à la dimension de ce cercle sont l’acuité visuelle, la distance au sujet et la taille de l’image. Un cercle de confusion se forme lorsque la lumière passe par le boîtier et le diaphragme de l’objectif. Changer la taille de ce cercle revient à ouvrir ou à fermer le diaphragme. Si vous l’ouvrez, le cercle de confusion est large, ce qui donne une image avec une faible profondeur de champ : davantage de zones sont floues. Si vous le fermez, des plus petits cercles de confusion sont créés, ce qui augmente la profondeur de champ : la photo est bien nette.

 

Cet article est  extrait de l’ouvrage Photographie de concert-Guide pratique, de J.Dennis Thomas, paru aux éditions Eyrolles en décembre 2012 (19,90 € TTC – 200 pages  en couleurs – 14 x 22).  © Groupe Eyrolles 2013. ISBN 978-2-212-13625-8.

 

Réaliser la couverture d’un livre de photos de mariage avec Lightroom

LivrePhotoMariage

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Ajout du titre

Mais une couverture ce n’est pas seulement un visuel, il faut un titre. En règle générale, le texte ne doit pas se fondre dans l’image, il faut toujours trouver une zone peu encombrée pour le positionner, sans essayer de l’intégrer à tout prix dans un petit espace vide de l’image. Il faut également choisir une police de caractères qui permette une lecture aisée, et une couleur de texte qui soit bien contrastée avec l’image.

7. Je décide d’intituler le livre des prénoms des mariés. Dans le panneau Page, je coche l’option « Plaque d’identité » et je saisis les prénoms « Maryline & Philippe ». Je choisis la police Champagne & Limousines et mets suffisamment d’espace entre chaque mot pour que le prénom « Maryline » se trouve juste sous la photo de la robe et « Philippe », sous celle de la veste.

Couverture livre photo

J’aurais pu insérer le texte de première de couverture depuis le module Livres, mais il m’a paru plus simple de tout faire sur le fichier JPEG.

8. J’exporte l’image et l’importe dans ma collection : dans le panneau « Travaux d’impression », sous « Imprimer au format », je choisis le format de fichier JPEG, puis je clique sur « Impr. dans fichier ». Je sélectionne un emplacement que je retrouverai facilement ensuite, afin de réimporter cette image dans Lightroom.

9. De retour dans le module Livres, j’insère ce montage sur la première de couverture grâce à un simple glisser/déposer.

La couverture est maintenant en place. C’est en zoomant par hasard dans l’image qu’une autre idée de présentation m’est venue : rapprocher les deux photos l’une de l’autre accentuera le côté contemporain du visuel. Je pourrais aussi placer les prénoms en haut de la page et centrer la date, en bas. Cette variante montre qu’une multitude de possibilités s’offrent à nous dès lors que l’on sort des présentations classiques.

La première de couverture.

La première de couverture finalisée.

 

Variante

Variante de la première de couverture. Les possibilités de mise en page pour la couverture sont infinies, libérez votre sens artistique !

La première de couverture est terminée mais il ne faut pas oublier de préparer aussi sa « face cachée », la quatrième de couverture (qu’on appelle parfois par abus de langage « le dos ») ; le module Livres de Lightroom offre bien sûr tous les outils nécessaires pour cela. Nous n’allons pas développer ce point ici, mais retenez qu’en règle générale, la quatrième pourra contenir une ou des images, rappeler le titre de votre livre, donner un résumer de son contenu et/ou quelques mots sur vous, votre travail, vos goûts photographiques… Tout dépendra du livre, de son positionnement, des lecteurs auxquels vous le destinez.

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Cet article est un extrait de l’ouvrage Créez vos livres photo avec Lightroom, de Céline Jentzsch et Gilles Theophile, paru aux éditions Eyrolles en décembre 2012 (20 € TTC – 172 pages en couleurs – format 21 × 23).  

couverture Jentzsch-TheophileUn ouvrage en deux parties qui associe savoir-faire et créativité. La récente version 4 de Lightroom permet de concevoir, réaliser et imprimer des livres photo de qualité grâce à son nouveau module Livres – développé en étroite collaboration avec Blurb, l’un des prestataires internationaux leader du marché. Mais par où commencer ? Comment sélectionner, préparer et associer des images ? Faut-il opter pour une mise en page automatique (180 modèles) ou oser se lancer dans une mise en page manuelle ? Comment choisir son papier, sa reliure ? Cet ouvrage très illustré décrit de façon détaillée tous les outils et le flux de travail nécessaires à la préparation d’un livre photo, avant de présenter les étapes de la réalisation de trois ouvrages (un livre de photos de voyage, de mariage, de vacances en famille). Alliant l’expertise et la précision de Gilles Theophile à la sensibilité et au talent de Céline Jentzsch, il sera à la fois un guide technique et une source d’inspiration pour tous les photographes qui désirent mettre en scène leurs images, que ce soit à titre professionnel ou plus personnel (books, plaquettes, albums souvenirs…).

Partie 1 – Le module Livres de Lightroom. Espace de travail. Organisation des projets ● Affichage et enregistrement ● Paramètres du livre et outils de mise en page ● Film fixe ● Préférences Structure des pages. Activer une page ● Composer une page ● Modèles Préparer l’iconographie. Trier les photos ● Créer une collection ● Utiliser les métadonnées ● Épreuvage à l’écran ● Caractéristiques du livre Blurb, PDF, JPEG Démarrer un projet. Définir les paramètres du livre ● Mise en page automatique ● Enregistrement Organiser les pages. Ajouter une page ● Copier/coller la mise en page ● Déplacer une page ● Modifier l’arrière-plan Placer les photos. Positionner, réarranger les images ● Zoomer, déplacer ● Filtrer les photos ● Mettre à jour les images corrigées Mettre en page le texte. Saisir le texte ● Mettre à jour des métadonnées ● Texte de remplissage ● Outils de polices de caractères ● Régler les gouttières ● Aligner et justifier les textes ● Paramètre prédéfini de style de texte Concevoir la couverture. Choisir un type de couverture ● Modèles ● Structure d’une couverture ● Exporter une couverture Exporter le livre.

Partie 2 – Réaliser un livre photo. Conseils pour réussir son livre. Différents types de livres et format ● Séquence et sélection des images ● Travailler avec une planche-contact ● Choisir quelles images associer ● Ajouter d’autres documents icono ● Mettre en page ● Choisir la marge ● Construire la couverture ● Folioter ● Textes et légendes ● Typographie Créer un livre de photos de voyage Créer un livre de photos de vacances en famille Créer un livre de photos de mariage.

Les auteurs : Céline Jentzsch est une jeune photographe spécialisée dans la photo de voyage, de plus en plus sollicitée par des revues comme Le Monde de la Photo pour ses images et ses reportages. Elle a illustré l’essentiel de ce livre. Gilles Theophile est rédacteur, traducteur, formateur et photographe indépendant. Spécialiste de Lightroom, auteur du best-seller Lightroom par la pratique (éditions Eyrolles) et de DVD-Rom de tutoriels (Video2Brain), il est le créateur du site utiliser-lightroom.com, la référence française sur le logiciel d’Adobe.

© Groupe Eyrolles 2013

ISBN 978-2-212-13552-7


Créez vos livres photo avec Lightroom : la disposition automatique

Créez vos livres photo avec Lightroom

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Opter pour un paramètre prédéfini aléatoire à partir des favoris

Choix des pages à photos multiples pour la disposition aléatoire à partir des favoris.

Dans l’éditeur, sélectionnez « Aléatoire à partir des favoris », dans le menu déroulant. La fenêtre de sélection de modèles est remplacée par quatre cases à cocher nommées « Une », « Deux », « Trois », « Quatre ».

  • Si vos favoris ne contiennent que des modèles de pages à deux photos, cochez uniquement la case Deux.
  • Si vos favoris contiennent des modèles avec un nombre différent de photos, cochez les cases correspondantes : par exemple, s’ils incluent des modèles à une, deux, trois ou quatre photos, et que vous cochez Deux et Trois, la disposition automatique n’utilisera qu’un mélange des modèles correspondants pour proposer une mise en page.

Si vous choisissez un modèle à nombre X de photos, sans qu’il soit dans les favoris, un message d’avertissement s’affichera à l’écran dès que vous lancerez une disposition automatique.

Message d’alerte signalant l’absence d’un modèle à X photos dans les favoris.

Message d’alerte signalant l’absence d’un modèle à X photos dans les favoris.

Les autres réglages sont les mêmes que pour les paramètres prédéfinis à disposition fixe.

Retenez aussi que les réglages de la page de gauche et de la page de droite sont toujours indépendants, vous pouvez parfaitement choisir une disposition fixe d’un côté, et aléatoire de l’autre. Le menu permet également de choisir une page vide d’un côté, ou de copier les réglages d’un côté à l’autre (sélectionnez « Identique au côté gauche ou droit »).

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Cet article est un extrait du chapitre 4 du livre Créez vos livres photo avec Lightroom, de Céline Jentzsch et Gilles Theophile (20 € TTC – 172 pages en couleurs – format 21 × 23).  

Créez vos livres photo avec Lightroom

Un ouvrage en deux parties qui associe savoir-faire et créativité. La récente version 4 de Lightroom permet de concevoir, réaliser et imprimer des livres photo de qualité grâce à son nouveau module Livres – développé en étroite collaboration avec Blurb, l’un des prestataires internationaux leader du marché. Mais par où commencer ? Comment sélectionner, préparer et associer des images ? Faut-il opter pour une mise en page automatique (180 modèles) ou oser se lancer dans une mise en page manuelle ? Comment choisir son papier, sa reliure ? Cet ouvrage très illustré décrit de façon détaillée tous les outils et le flux de travail nécessaires à la préparation d’un livre photo, avant de présenter les étapes de la réalisation de trois ouvrages (un livre de photos de voyage, de mariage, de vacances en famille). Alliant l’expertise et la précision de Gilles Theophile à la sensibilité et au talent de Céline Jentzsch, il sera à la fois un guide technique et une source d’inspiration pour tous les photographes qui désirent mettre en scène leurs images, que ce soit à titre professionnel ou plus personnel (books, plaquettes, albums souvenirs…).

Partie 1 – Le module Livres de Lightroom. Espace de travail. Organisation des projets ● Affichage et enregistrement ● Paramètres du livre et outils de mise en page ● Film fixe ● Préférences Structure des pages. Activer une page ● Composer une page ● Modèles Préparer l’iconographie. Trier les photos ● Créer une collection ● Utiliser les métadonnées ● Épreuvage à l’écran ● Caractéristiques du livre Blurb, PDF, JPEG Démarrer un projet. Définir les paramètres du livre ● Mise en page automatique ● Enregistrement Organiser les pages. Ajouter une page ● Copier/coller la mise en page ● Déplacer une page ● Modifier l’arrière-plan Placer les photos. Positionner, réarranger les images ● Zoomer, déplacer ● Filtrer les photos ● Mettre à jour les images corrigées Mettre en page le texte. Saisir le texte ● Mettre à jour des métadonnées ● Texte de remplissage ● Outils de polices de caractères ● Régler les gouttières ● Aligner et justifier les textes ● Paramètre prédéfini de style de texte Concevoir la couverture. Choisir un type de couverture ● Modèles ● Structure d’une couverture ● Exporter une couverture Exporter le livre.

Partie 2 – Réaliser un livre photo. Conseils pour réussir son livre. Différents types de livres et format ● Séquence et sélection des images ● Travailler avec une planche-contact ● Choisir quelles images associer ● Ajouter d’autres documents icono ● Mettre en page ● Choisir la marge ● Construire la couverture ● Folioter ● Textes et légendes ● Typographie Créer un livre de photos de voyage Créer un livre de photos de vacances en famille Créer un livre de photos de mariage.

Les auteurs : Céline Jentzsch est une jeune photographe spécialisée dans la photo de voyage, de plus en plus sollicitée par des revues comme Le Monde de la Photo pour ses images et ses reportages. Elle a illustré l’essentiel de ce livre. Gilles Theophile est rédacteur, traducteur, formateur et photographe indépendant. Spécialiste de Lightroom, auteur du best-seller Lightroom par la pratique (éditions Eyrolles) et de DVD-Rom de tutoriels (Video2Brain), il est le créateur du site utiliser-lightroom.com, la référence française sur le logiciel d’Adobe.

© Groupe Eyrolles 2013

ISBN 978-2-212-13552-7

Concevoir son livre de photographie : sélectionner ses images

Les tirages permettent d’avoir une bonne lisibilité des images et peuvent servir de base à la maquette papier.

Les logiciels de tri

Apparus il y a une dizaine d’années, ces logiciels permettant de gérer facilement ses images n’ont eu de cesse de s’améliorer. En plus de trier et classer vos photographies, nombre d’entre eux intègrent des solutions de post-traitement qui en font les labos numériques des photographes. Les plus connus sont Aperture et Lightroom. Vous pouvez y classer vos photos selon vos propres mots-clés, et ainsi les retrouver rapidement sans avoir à fouiller vos disques durs. Plusieurs modules permettent de marquer les photos que l’on souhaite conserver (couleurs, drapeaux, étoiles…), mais leur véritable intérêt réside dans le fait de pouvoir très rapidement comparer des images entre elles, ce qui facilite grandement leur choix. Votre sélection pourra ensuite être exportée vers votre dossier (« editing_livre_xxx ») ou gravée sur DVD. Parfois, de simples visionneuses suffisent à passer en revue vos images et à démarrer une sélection. Pour ma part, je travaille avec Bridge (et Photoshop), cette visionneuse d’images améliorée permet de trier et classer les fichiers numériques, et possède, en outre, dans ses dernières versions des liens directs avec les logiciels de PAO. Aucune méthode n’est universelle, certains photographes utilisent à la fois des planches-contacts et des fichiers numériques, cela dépend en grande partie du flux de production mais il est évident qu’avoir une homogénéité dans la lecture des images permet de travailler plus efficacement sans risquer d’oublier une photo qui aurait pu être importante dans la sélection.

Visualisation de la sélection d’images via le logiciel Bridge

Concevoir son livre de photographie

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Êtes-vous prêt à vous investir ?

Si, à l’heure actuelle, il est particulièrement difficile d’être édité (et la tendance ne semble pas prête à s’inverser), l’autoédition apparaît comme un phénomène de plus en plus présent et permet de découvrir des titres d’une originalité peu commune. Leurs auteurs, en décidant de concevoir et diffuser de A à Z leurs productions, ce sont dans le même temps dégagés de la majorité des contraintes commerciales qui « dictent » le marché.

concevoir livre photographie lepetit castel

Concevoir son livre de photographie : un acte créateur permettant de donner un aboutissement à son travail tout en maîtrisant son fond et sa forme !

Mais cette prise de liberté a un coût et se lancer seul, sans aucune aide extérieure, dans la création de son livre de photographie est le début d’un long travail qui au-delà de l’énergie mise en œuvre demande souvent un gros investissement financier ; concevoir son livre soi-même implique, en effet, de financer l’intégralité de sa production et d’en gérer chacune des étapes jusqu’à sa diffusion. Autant de raisons pour ne pas prendre l’exercice à la légère.

La question du financement n’a rien de négligeable. Elle a d’ailleurs sûrement déjà freiné bon nombre de photographes, j’en suis bien conscient pour avoir moi-même investi beaucoup dans mes projets éditoriaux. Mais la photographie, ce n’est pas nouveau, est un métier (ou une passion) qui coûte cher et demande du temps. Boîtiers, objectifs, logiciels, papiers, encres, chimies ou autres consommables représentent bien souvent un budget très important. Alors pourquoi y ajouter le coût d’un livre ? Lorsque vous achetez du nouveau matériel, vous pensez sûrement aux images qu’il vous permettra de réaliser et à leurs possibles retombées. Il en va de même pour ce projet de livre qui vous fait rêver ; quelle visibilité pourra-t-il justement apporter à votre photographie, quel impact aura-t-il sur votre carrière ? En regard de ces résultats, les dépenses et l’énergie nécessaires pour le réaliser vous semblent-t-elles encore disproportionnées, voire injustifiées ? Bien sûr, vous pourrez toujours faire imprimer des portfolios en ligne ou d’autres albums vous permettant de diffuser votre travail mais leur qualité ne risque-t-elle pas de vous desservir ? De plus, ces ouvrages basiques ne pourront jamais trouver place sur les tables des libraires. Mettez donc toutes les chances de votre côté ! Qui sait, un premier beau livre représentera peut-être un argument de poids pour décrocher des aides en vue de nouveaux projets ou bien vous ouvrira les portes de nouvelles expositions…

N’ayez pas peur de vous lancer dans l’aventure, car si elle peut paraître de prime abord un peu compliquée, elle est loin d’être inaccessible. Concevoir son livre de photographie est plus que jamais l’occasion de se plonger dans son travail, de se questionner, de le considérer autrement, de prendre les bonnes décisions et peut-être de mettre au monde un livre dont on parlera longtemps !

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couverture concevoir livre photographie lepetit castel

Cet article est extrait de Concevoir son livre de photographieÉditing, mise en pages, impression, disponible en librairie le 30 novembre (176 pages, 25 euros, ISBN : 978-2-212-13624-1).

Photographe et formateur, Gildas Lepetit-Castel a autopublié six livres de photographie depuis 2007. Il a conçu cet ouvrage comme un véritable guide répondant à toutes les questions auxquelles il s’est trouvé confronté lors de la réalisation de ses projets. Retrouvez ses activités sur :

www.glc-photographie.com et www.glc-editions.com.

Au sommaire

Au cœur du projet : l’éditing. Quel est le propos de mon livre ? • Quel est le public visé ? • Comment sélectionner ses images • Les grandes étapes de la conception d’un livre Rassembler la matière première : les images. Exploiter les photographies numériques • Scanner ses négatifs (et ses diapos) • Numériser des tirages • Regard de professionnel – G. Geneste, fondateur du laboratoire La Chambre noire Penser son ouvrage : maquette et mise en pages. Le format • Les dimensions et le nombre de pages • Du papier à l’écran : la naissance du livre • La mise en pages • La couverture Préparer son devis… Faire des choix. Établir une demande de devis • Identifier les différents types d’impression • Choisir papier, reliure et finitions (pelliculages et vernis) • Prévoir le conditionnement • Fixer le nombre d’exemplaires • Trouver un imprimeur • Comparer les devis et négocier les prix • Imprimer soi-même • Regard de professionnel – D. Geers, imprimeur Préparer les photos pour l’impression. Les corrections de base • Soigner la repique • Recadrer et redimensionner • Vérifier le rendu des couleurs à l’écran • Effectuer la conversion des fichiers images • Accentuer la netteté des images Du PDF à l’impression. Contrôler avant d’exporter • Préparer le fichier PDF • Donner le BAT • Faire le suivi de l’impression Au-delà du livre… Méthode de travail et réflexions. Le prix de vente • La diffusion • Regard de professionnel – La librairie le 29

 

5D Mark III – Un boîtier pro en « tout auto programme vert », est-ce bien raisonnable ?

Le Canon 5D Mark III avec son 24-105.

Style d’image automatique

Comment le 5D Mark III devine-t-il qu’il photographie un paysage ou un portrait ? Peut-être par l’analyse des teintes ou des contrastes ; toujours est-il que le mode A+ adapte tout seul le contraste, la saturation et la netteté, avec une prédominance importante pour les photos claquantes et saturées. C’est un style qui était déjà recherché par les fabricants de pellicules argentiques négatives couleur du siècle dernier, et qui donnera des résultats concluants en JPEG pour bien des sujets. Là aussi, en cas d’excès, il vaudra mieux repasser en mode P et choisir son Style d’image, le « standard » étant déjà bien soutenu en matière de contraste et de couleurs.

Parfois le mode automatique peut aller un peu loin dans le contraste et la saturation de l’image.

Parfois le mode automatique peut aller un peu loin dans le contraste et la saturation de l’image.

Combinaison avec une optique stabilisée

Deux zooms transtandards stabilisés existent dans la gamme Canon, le classique 24-105 mm f/4 proposé en kit avec le 5D Mark III, et le bien oublié mais très démocratique 28-135 mm f/3,5-5,6, dont le piqué mesuré a été une très bonne surprise de nos tests. Il existe aussi le très haut de gamme 28-300 mm f/3,5-5,6 L, qui, lui, nous a un peu déçus en longue focale. Quand on utilise le mode A+, l’appareil déduit automatiquement la vitesse minimale de la focale sélectionnée, et dès lors que l’on attend une fraction de seconde déclencheur à mi-course, pour que le stabilisateur démarre, on est certain d’avoir une très belle netteté.

Ce mode automatique intégral atteint cependant ses limites si l’on photographie un sujet qui se déplace très rapidement, par exemple une voiture ou une moto de course à peu de distance, car la vitesse choisie par l’appareil (qui a pour règle d’être assez basse pour ne pas trop monter en ISO) risque de ne pas pouvoir figer le mouvement. Dans ce cas, il vaut mieux choisir sa vitesse avec le mode Tv (par exemple 1/1000 s) et ajuster les ISO le cas échéant.

Si l’on veut user d’une vitesse lente, il faut se souvenir que le stabilisateur ne peut pas figer les mouvements, mais ici l’effet vitesse lente est volontaire.

Éviter le mode A+ en vidéo

Le mode A+ est également proposé pour la vidéo (voir le manuel page 218), mais il risque là de présenter l’inconvénient inverse de celui qui peut exister en photo sportive. En effet, pour contrôler les effets en vidéo, il convient de maîtriser l’ouverture (pour gérer la netteté sur le sujet principal et les flous de fond, si prisés au cinéma) et la vitesse d’obturation, afin que les images soient fluides.

Beaucoup de photographes qui passent à la vidéo ignorent le principe selon lequel une image est bien fluide si la vitesse d’obturation est seulement le double de la cadence de prise de vues : par exemple, en cinéma, dont la norme historique est le 24 images par seconde, les caméras sont calées avec une vitesse d’obturation de 1/48s. Si on tourne à 30 images/seconde, on devrait choisir une vitesse de 1/60 s. En pratique, on peut décaler d’une vitesse sans trop de problèmes (1/125 s par exemple), mais choisir une vitesse rapide rend les images scintillantes et saccadées, ce qui est d’ailleurs indiqué dans le manuel à la page 219. Laisser faire l’appareil en tout automatique est bien risqué, et cela vaut tout autant pour le mode Av et le mode P.

Imaginons que vous filmiez un personnage au soleil et que vous vouliez obtenir un flou en positionnant votre diaphragme à f/2. L’appareil choisira naturellement 100 ISO et… 1/8000 s, ce qui procurera une vidéo inexploitable. La seule solution est de choisir une vitesse proche de 1/125 s et de coiffer votre objectif d’un filtre gris neutre (ND) qui absorbera autant de lumière que nécessaire, ici de l’ordre de 6 crans de diaphragme. Évidemment, comme le Live view tient compte de la lumière qui parvient au capteur, votre image de visée restera très claire alors qu’elle sera tellement sombre dans le viseur optique que vous croirez la nuit tombée.

En conclusion

Se servir d’un appareil en mode « vert » est toujours déroutant pour quelqu’un habitué à souvent utiliser le mode M dès que la lumière est délicate, mais les résultats du 5D Mark III sont à la hauteur si l’on est attentif aux points signalés plus haut. Certes, beaucoup d’experts rechigneront (à juste titre) à laisser leur appareil prendre la main sur tous les réglages, mais si le boîtier passe de mains en mains en famille, au cours d’un voyage, il n’y a guère de craintes à avoir sur les résultats.

 

 

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